- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


vendredi 27 août 2010

En terrasse

Une terrasse de café à Paris, un beau soleil, un couple s'assied.
"Vous avez quoi comme pressions ?
- Comme passions ?
- Vous faites des cafés frappés ?
- On fait tout ici …."

Sans se faire pincer

Un homme entre dans une banque vide à 19heures, vide mais avec un distributeur de billets. Deux jeunes femmes le suivent, imaginez son sourire à ce moment-là. L'une s'approche de lui, dévoile ses seins, met la main sur son sexe. A-t-il déjà la tête du loup de Tex Avery, l'on ne sait pas, mais la seconde subtilise alors les 300 euros sortis du distributeur.
Depuis que j'ai lu cette info, je rentre dans tous les banques vides que je rencontre en espérant pincer (les seins de) la voleuse !

mercredi 25 août 2010

Elle et Lui, une soirée... (5)

Il me regarde, je le sais, je sais qu'il aime me regarder ainsi. J'aime cette position pour lui, je suis fière de lui plaire ainsi. Soudainement, la langue quitte mes fesses, un long gémissement, alors que je tourne un peu la tête vers ce gémissement, les mains de la femme s'agrippent à mes cheveux et me plaquent sur son sexe et elle sourit. " Ne t'arrête pas de lécher pour autant petit Chien !"

Sa voix derrière moi "Visiblement elle est très douée, je peux y goûter aussi ?", elle sourit en disant cela, je n'ai pas besoin de la voir pour cela. Ses doigts me quittent, ses pas l'éloignent. J'entends celle que je lèche s'activer à son tour.
Des mains sur mes fesses les écartent et je le sens commencer à s'enfoncer en moi, malgré moi j'arrête de lécher dans un long gémissement. Sa voix qui me fait toujours chavirer " Ne t'arrête pas de lécher pour autant petit Chien !" Je retrouve les fesses ouvertes et je glisse ma langue, la pousse le plus profond possible. Je sens les mains m'agripper par les hanches et le sexe de l'homme s'enfoncer en moi, lentement, il me prend d'un mouvement puissant et continu pendant que mon gémissement s'étouffe dans les fesses d'une inconnue. Il va et vient et donne le rythme à ma bouche.
Je m'applique à lécher fier de mon offrande pendant que je l'entends gémir doucement sous la langue de cette inconnue.

Il recommence à me lécher pendant que le bassin ondule sous ma langue, elle réagit de plus en plus à ma caresse, elle gémit et coule sur ma langue. Sa respiration s'accélère, ma langue la suit lorsqu'elle se cambre.
Elle explose dans un cri…
Derrière moi, sa voix grave " La soirée ne fait que commencer, elle va être belle…"

 

lundi 23 août 2010

To ovulate or not to ovulate ?

Le marketing mène à tout. Une étude a été réalisée dans le cadre très sérieux au premier abord de l'école de gestion de l'Université du Minnesota. Son objectif : établir un lien entre hormones et pulsion d'achat, l'autre option aurait été d'arrêter de fumer la moquette, mais ce n'est pas celle qui a été retenue. Comment le leur reprocher ! Lorsque nous étions étudiants, n'avons-nous pas tous tenté une telle étude sur le lien entre hormones et pulsion, certes pas d'achat, mais de manière totalement bénévole en nous impliquant totalement et en cherchant à pousser le plus loin possible la sus-dite étude.
Mais, ne nous égarons pas. L'étude a été menée le plus sérieusement du monde et le résultat est tombé :  les femmes chercheraient à plaire davantage en s'habillant mieux lorsqu'elles sont en période d'ovulation. Selon Kristina Durante, auteure de l'étude, "ce désir qu'ont les femmes, au moment-clé de leur fécondité, de choisir inconsciemment des articles qui mettent en valeur leur apparence est nourri par leur désir d'être plus séduisantes que leurs rivales. Si vous êtes plus désirable que la concurrence, vous avez plus de chances d'être retenues."
En lisant cette conclusion, je me demandais si certaines femmes n'ovulent pas en permanence et si d'autres au contraire ont déjà ovulé au moins une fois…

dimanche 22 août 2010

Elle et Lui, une soirée... (4)

Je frémis sous sa caresse, sa voix me glisse "je ne t'ai pas demandé d'arrêter, lèche-la encore cette petite chienne". Je m'applique, tends ma langue et gémis doucement en même temps. Je sens ses doigts qui glissent vers mes fesses, qui me caressent doucement, je sais son regard pétillant à cet instant, son doigt glisse lentement en moi, je me cambre et m'ouvre à sa caresse. Et ma langue caresse toujours ce cul qui ondule devant moi, les gémissements me guident, même s'ils deviennent plus sourds.

J'aime sa langue chaude et humide au creux de mes fesses, je me laisse aller à cette caresse que j'aime tant. J'entends les talons de la femme qui se déplace vers celui qui me lèche si bien, je suis certaine que lui me regarde, je me cambre, les seins tendus et offerts pour qu'il soit fier de moi. Je me laisse aller, tête renversée en arrière bouche ouverte. Soudain sa main sur ma nuque, il me redresse de son autre main, il caresse ma bouche, je suce ses doigts, les aspire, tendue vers lui, je suce ses doigts et désire son sexe dans ma bouche, j'aime le sentir durcir entre mes lèvres, j'aime sa manière de pousser son sexe raide de désir dans ma bouche. Il le sait, et il va encore en jouer et me laisser ainsi lécher, sucer ses doigts. Son autre main glisse sur mes seins lourds, les pointes sont dressées. Il les effleure doucement, comme pour vérifier mon excitation. Il va jouer avec, va les pincer, les vriller, j'attends, j'espère et redoute cette caresse qui me fait perdre pied.
Et enfin, son sexe qui butte, caresse ma bouche, je le gode, le suce, le lèche, le déguste, l'aspire. Son désir emplit ma bouche.
Toute à son plaisir, j'entends la voix de la femme " Visiblement elle est très douée, je peux y goûter aussi ?" Il se retire de moi, je reste bouche ouverte, haletante. J'entends les talons claquer sur le sol, elle est face à moi et ses mains à lui prennent mon visage, le caressent et me penchent en avant. Je sens l'odeur de la femme, ma bouche sur son sexe, elle est humide, je tire la langue e la lèche doucement. Son sexe est doux et chaud, ses doigts dans mes cheveux me guident et suis certaine qu'il regarde cela avec un plaisir intense, pendant que la langue caresse toujours mon cul. Je me cambre, m'ouvre, mon sexe est trempé de désir, comme celui que je lèche.

Top 14

Le Top 14 vient de reprendre. Ce soir, deuxième journée du championnat avait lieu le match Castres Olympique – Stade Toulousain. Comme chacun le sait, ou presque chacun, les habitants de Castres s'appellent des Castrais. Et les joueurs de Castres, les Castrais sont entraînés par Laurent Labit, ancien joueur castrais lui-même.
Ce qui est plus surprenant, Laurent Labit a joué au Castres Olympique jusqu'en 1997, année d'arrivée à Toulouse de Christian Labit, qui lui aussi a quitté le club. Un nouveau troisième ligne est arrivé depuis Picamole, cela expliquerait-il la difficulté pour le Stade Toulousain à jouer en pénétration ?

samedi 21 août 2010

Elle et Lui, une soirée... (3)

Puis sa voix que j'aime tant, qui me fait frissonner " Elle est totalement disponible, très ouverte, je suis certain que nous allons passer une délicieuse soirée". Le dialogue se poursuit un instant, ils parlent de moi comme si je n'étais pas là, ou plutôt comme si j'étais un objet, un objet de plaisir offert à leurs désirs. Puis il me prend par le bras, me fait avancer, quelque pas. Puis, sa voix joyeuse "" Déjà prêt à l'emploi, une excellente idée !". Je devine une présence, une autre personne, un homme surement puisque prêt…
La femme bouge, ses talons claquent sur le sol. Et soudain des gémissements, des gémissements d'homme, plaisir et douleur mêlés.
J'écoute, je ne peux faire que cela, j'écoute et essaye de deviner. Il s'agenouille, elle lui a demandé, et je l'entends. Et sa main sur mon épaule qui accompagne sa voix " Toi aussi", immédiatement j'obéis. Il s'approche de moi, je sens sa présence, son souffle tout contre moi.
Et je les entends tous les deux, ils marchent, boivent un verre, plaisantent.
Et sa voix " Vous n'allez pas rester tous les deux comme ça, vous pourriez faire connaissance", et elle rit " Et vous savez comment font un chien et une chienne pour faire connaissance, ils se reniflent, allez, le mâle en premier…"
Il bouge vers moi, je sens son visage près du mien, son souffle, qui glisse le long de mon corps, il avance, tourne derrière moi. Son souffle, sa langue qui caresse mes fesses, je me cambre, m'ouvre, je sens son souffle, sa langue là. Je frémis et savoure cette caresse.
 

"Le mâle en premier", je tressaille à ces mots. Je sens son visage contre le mien, je suis la courbe de son cou, son épaule, j'avance maladroitement à genoux, tourne autour d'elle, me penche en avant, son dos, ses fesses, je la lèche, ma langue s'immisce entre ses fesses. Je la sens s'ouvrir, se cambrer. Je pousse ma langue plus avant, j'entends son gémissement, je sens son bassin qui ondule lentement. Et le rire, ce rire que j'aime tant " Continue joli chien, lèche-la encore, elle adore ça." Je tends ma langue, caresse, déguste, je suis le rythme de son bassin et le temps n'existe plus, j'aime lécher ainsi et j'aime être vu, je sais le sourire de celle qui me fait vibrer à ses mots, et j'aime qu'elle me montre ainsi. Il est si troublant d'être ainsi nu, à genoux, léchant ainsi le cul d'une totale inconnue. Je sens mon sexe se raidir.
Je lèche encore, et je sens sa main, sa main que je connais tant, qui caresse mon sexe du bout de ses ongles.

vendredi 20 août 2010

Le bon plaisir

Qui ne connaît pas Montauban ? On peut connaître Montauban comme chef-lieu du Tarn et Garonne ou en raison des déboires de son club de rugby rétrogradé malencontreusement du Top 14 à la Fédérale 1, mais l'on connaît tous Montauban grâce à la célèbre réplique des Tontons flingueurs " On ne devrait jamais quitter Montauban."
Mais avez-vous déjà visité Montauban ? Loin de moi l'idée de vous faire ici un condensé plus ou moins raté de l'office de tourisme local et du guide bleu, vert ou de quelque autre couleur, ce qui m'intéresse ici ce sont les transports en commun montalbanais. Je ne parle pas ici de parties à trois, quatre, ou beaucoup plus, mais des transports en bus.
La SEMTM, Société d'Économie Mixte des Transports Montalbanais, gère 6 lignes de bus nommées de A à F. La ligne A a deux terminus Monplaisir et gare SNCF. Ce qui explique que lors de ma dernière visite à Montauban, j'ai aperçu un bus portant la mention sur son bandeau "AMONPLAISIR".
Je vous laisse imaginer le délire onirique que peut représenter un bus qui puisse m'amener tout simplement à mon plaisir…

dimanche 15 août 2010

Elle et Lui, une soirée... (2)

Je me lève, me déshabille vite, ou plutôt le plus vite possible avec les yeux bandés. Je sens son souffle sur ma nuque, je l'entends faire disparaître mes vêtements dans un placard. Je reste nu immobile au milieu de la pièce. Et je sursaute au bruit de la sonnette. Elle rit et va vers la porte, le bruit lourd de la clé qui tourne, la porte, sa voix étincelante comme toujours : " Elle est jolie, j'adore!" Une voix d'homme lui répond, une voix que je ne connais pas, j'entends leur conversation par bribes, ils parlent de moi, d'une femme…
Puis des pas, le sien, un autre pas de femme, moins assuré et un pas d'homme et à nouveau la voix qui sourit " Déjà prêt à l'emploi, une excellente idée !" Ses doigts, des doigts à elle, sur mes seins, je les reconnais, elle les pince, je connais ce sourire-là, son regard pétillant. Je connais sa manière de me caresser doucement les pointes de seins, avant de les pincer doucement, de les pincer un peu plus fort, et je gémis doucement, j'aime cette sensation.
La voix de l'homme qui murmure, je ne distingue pas ce qu'il dit. Elle rit doucement, et lance un" Oui, excellente idée, mets toi à genoux toi." Dans un sourire, je m'agenouille aussitôt. Et la voix de l'homme tout aussi souriante : " Toi aussi." Un bruit près, tout près de moi, je sens un corps prés du mien. Et son rire, sa voix qui me fait toujours et encore chavirer " Approche toi, ne sois pas timide." Elle pose sa main sur ma nuque, me fait doucement avancer à genoux. Je sens un souffle contre le mien juste en face de moi, une odeur, un parfum féminin.
Je ne bouge plus, et ils bavardent tous deux, je les entends marcher, des bruits de verre, de bouteille. Ils sont assis dans le canapé. Ils parlent de moi, et d'elle, celle qui est face à moi, je pense. Elle rit : "Ils semblent timides tous les deux". Et la voix d l'homme rajoute " Il faudrait qu'ils fassent enfin connaissance non ?"

Il sourit, "Mets quand même quelque chose pour sortir..." J'attrape un imper pour me couvrir et nous partons. Il ne dit rien, l'ascenseur, sa voiture. Nous roulons, à un feu il me tend un bandeau. Il n'a pas besoin d'en dire plus, je mets le bandeau sur mes yeux immédiatement.
Nous roulons encore un peu, il se gare, descend, j'attends un instant, ma portière s'ouvre, sa main, il me guide. Je marche les yeux bandés, j'imagine son sourire satisfait. Un bruit de porte cochère, un ascenseur, une sonnette, un bruit de porte, une rire de femme " Elle est jolie, j'adore…"

vendredi 13 août 2010

Question du jour

De quel roman est extraite la phrase suivante "Bioy Casarès se rappelle alors qu'un des hérésiarques d'Uqbar avait déclaré que les miroirs et la copulation étaient abominables, parce qu'ils multipliaient le nombre des hommes."

mardi 3 août 2010

Question du jour

De quel roman est extraite la phrase suivante "Tu es vierge mais tu as déjà pénétré bien des choses." ?

lundi 2 août 2010

Elle et Lui, une soirée... (1)

Lui. Elle m'avait annoncé, un sourire aux lèvres, une soirée inoubliable, elle avait ajouté " je m'occupe de tout, tu vas adorer." J'avais eu beau tenter de la questionner, je n'avais eu comme réponse qu'une moue rieuse et une indication. Je devais être ce samedi à 18 heures chez elle. Impossible de savoir seulement si la soirée était chez elle, si l'on sortait, quelles seraient les personnes présentes. Et lorsque je lui avais demandé comment je devais m'habiller, elle avait éclaté de rire…

Elle. Il m'avait annoncé, un sourire aux lèvres, une soirée inoubliable, il avait ajouté " je m'occupe de tout, tu vas adorer." Je n'avais rien pu savoir d'autre, juste une précision, je devais l'attendre chez moi à 18 heures, sans savoir ce que l'on faisait ensuite, avait-il invité quelqu'un chez moi, devait-on sortir, seul son sourire me répondait. Et lui, d’habitude si prolixe en détail concernant ma tenue, n'avait rien dit cette fois-ci, pas la moindre indication.

Enfin ce samedi arrive, et je sonne chez elle. Elle ouvre, elle est encore en peignoir, me fait entrer, un immense sourire aux lèvres, regarde ma tenue et me lâche " Bel effort, aussi beau qu'inutile". Elle disparaît aussitôt dans un éclat de rire, réapparait derrière moi, un bandeau se colle sur mes yeux, ses lèvres se collent à mon oreille, un murmure " Avec moi tu n'as peur de rien, disais-tu, alors, prêt pour le grand jeu ?" Et c'est dans un frisson que je réponds oui.

Enfin ce samedi arrive et il sonne. Je cours lui ouvrir. Il me regarde, sourit. Je cherche à lire dans ce sourire une approbation pour la tenue choisie. Il le sait, il en joue, laisse son sourire énigmatique flotter devant moi, me prends par la main, me fait pivoter, se colle à moi et me glisse dans l'oreille " Prête pour le grand jeu ?" Je me retourne et ma langue lui répond en caressant la sienne.
 
Elle me laisse assis ainsi, les yeux bandés, je l'entends se préparer, j'entends ses pas, elle a mis maintenant ses escarpins, j'aime à essayer de deviner sa tenue. Soudain, elle s'arrête près de moi, son rire " il est temps de te préparer, déshabille-toi !" Je sursaute, commence à bafouiller un mot aussitôt interrompu, "Nu, vite, ils sont arrivés…"

Il m'éloigne de lui, me regarde à nouveau, " quitte cette robe". Elle glisse à mes pieds J'aime son regard sur moi, j'aime être vêtue ainsi, ma guêpière noire qui dévoile mes seins, des bas, mes escarpins. Il sourit, mon choix lui convient donc, et il ajoute, " C'est parfait, je n'en attendais pas moins de toi, on peut y aller, il ne faudrait pas être en retard.."