- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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lundi 29 octobre 2012

À quel sein se vouer encore une fois?



De livre en livre, de mot en mot, au plaisir infini de la lecture, encore une jolie trouvaille, non deux jolies trouvailles. Vu le sujet la dualité était de mise, je ne peux m'empêcher de partager, de dévoiler...
"Elles sont complètement dominées par la conscience de leurs seins, conscience aveugle, cruelle et capricieuse, perturbée et dangereuse, démente, mégalomane, conscience ignorante et fantastique, car elles ne savent pas peser la portée de leurs seins, se sentant pourtant dépositaires, propriétaires, enviées, tout cela rondement, habilement."
"ils (les éventails) sont  de si féminins subterfuges, ils procèdent à tel point de mains fines et de seins troublants, qu'il n'y a pas moyen de les considérer autrement."
Les deux dans le même livre à quelques pages d'intervalle, et oserais-je vous demander lectrices et lecteurs assidus ou de passage de quel diable de livre sont-ils tirés ?

Mais qu'importe l'auteur de ces mots, l'essentiel n'est-il pas dans la beauté de l'évocation, dans la puissance évocatrice des mots. Les actrices de Russ Meyer aux poitrines exubérantes et cinémascopées  peuvent aller se rhabiller.

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