- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


jeudi 24 octobre 2013

Un joli déjeuner 3/6

"Entremêle moi, lui sourit-elle, emmène moi, maintenant, où tu veux !"
Il la prend par la taille et l'entraine, quelques pas collés l'un à l'autre, un angle de rue, un vieil hôtel, il la regarde "Puisque nos instants sont furtifs, qu'ils le soient jusqu'au bout..." La réception, une employée qui sourit à ce couple si pressé; la clé. Elle se dirige vers l'ascenseur, il l'attire à lui. "Ne négligeons pas le plaisir de monter l'escalier..."
Sitôt dans l'escalier, leurs corps se collent l'un à l'autre, leurs bouches se cherchent, se trouvent, leurs langues se caressent.
De marche en marche; leurs respirations s'accélèrent, leurs regards se troublent.
Il la caresse, ses mains se posent sur ses fesses, il aime la sentir sous ses mains et ses mains à elle sont agrippées à ses hanches. Il caresse son visage et l'embrasse encore et encore.
D'une main posée sur ses reins, il la colle contre lui, sentir son bassin collé à lui, la chaleur de son corps, ses moindres mouvements.
Et encore quelques marches, il laisse sa main glisser sous sa jupe. Les doigts qui effleurent les bas, remontent lentement et découvrent la douceur de la peau, son frisson. Elle le tire "Viens", le palier, la porte, la clé, la  porte s'ouvre. Ils entrent, claquent la porte.
Ils sont collés au mur, se dévorent.
Cette fois-ci ce sont ses deux mains qui glissent sous la jupe, qui la troussent, qui la découvrent.
Ils n'ont pas besoin de mots, leurs regards en disent assez et l'après-midi est à eux...

Un joli déjeuner 6
Un joli déjeuner 5
Un joli déjeuner 4
Un joli déjeuner 2
Un joli déjeuner 1 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…