- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


jeudi 31 décembre 2015

31 décembre.

Passez une belle soirée, ou pour le moins la moins mauvaise possible. Pour celles et ceux qui pourront, auront choisi de faire la fête ce soir je ne ferai aucune allusion à la manière de farcir oie dinde, canard ou chapon, selon les goûts des un-es et des autres. Mais quelle que soit votre soirée à venir, n’oubliez pas de vous protéger, quelles que soient vos pratiques, et n’oubliez pas que l’alcool au volant tue, et cela est valable pour tous les jours de l’année. Finalement, je suis un grand sentimental et je tiens à vous lectrices et lecteurs…






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mercredi 30 décembre 2015

Fréquentations.

Nous avons toutes et tous en tête, principalement certes dans celles et ceux qui ont mon âge ou qui écoutent Nostalgie, une chanson de Joe Dassin "Il y a les filles dont on rêve Et celles avec qui l’on dort." Ces paroles me sont revenues en tête récemment lors d’une lecture bien sûr, lorsque j’ai découvert cette phrase, tellement représentative d’un état d’esprit "J’en fréquente quelques-unes, honnêtes ou douteuses. Le plaisir avec les premières, la débauche avec les secondes." Nous sommes là bien loin de l’esprit du libertinage.




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samedi 26 décembre 2015

Personne ici…

Le plaisir des citations naît dès la lecture lorsque soudainement il apparaît qu’une phrase pourra être citée, utilisée souvent d’une manière quelque peu décalée. Mais n’est-ce là le propre des citations, s’appuyer sur un texte jusqu’à en s’appuyant ainsi on le risque de la déformer quelque peu. C’est ainsi que j’ai trouvé la phrase que je vous livre ce soir "Depuis sa mort, à la Saint Sylvestre 1813-1814, personne ici n’a jamais plus touché à une queue, ni le grand-père, ni le père, et encore moins évidemment, les femmes."
Cette phrase est jolie mais le sens en varie en l’extrayant de son contexte et en oubliant de préciser que le lieu évoqué est une salle de billard. Mais cela n’en rend pas moins étrange la remarque visant la privation de queues pour les femmes.



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jeudi 24 décembre 2015

Faites la fin d’année…

À toutes celles et à tous ceux qui vont passer ces fêtes de fin d’année en famille,
À toutes celles et à tous ceux qui vont passer ces fêtes de fin d’année entouré-es d’ami-es,
À toutes celles et à tous ceux qui seront seul-es,
À toutes celles et à tous ceux qui sont malades, las, qui n’ont juste plus envie,
À toutes celles et à tous ceux qui sont fatigué-es de ces débauches de guirlandes, de ces injonctions de consommer,
À toutes celles et à tous ceux qui ressentent plus encore une absence en ces jours de fêtes,
Que les heures, que les jours qui viennent vous soient les plus doux possible.



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mercredi 23 décembre 2015

La femme à la commode 4/4

Elle sent la cravache glisser sur ses fesses, alterner caresses et claquements, dans ses oreilles la musique et ses gémissements, ses cris, dans ses fesses, dans son sexe, les jouets vibrent, sont manipulés, sortent à moitié pour mieux la fouiller à nouveau. Elle ondule de plaisir, elle aime cela, ses seins se balancent accentuant la caresse lancinante des pinces.
Des mains courent sur elle, pincent, caressent, claquent. Des ongles la griffent. La cravache, le martinet jouent sur ses fesses, ses cuisses. Elle crie son bonheur d’être ainsi offerte. Elle sent une main dans ses cheveux, qui la tire en arrière, la fait pivoter, la courbe. Un sexe caresse sa bouche, et glisse entre ses lèvres. Elle connaît, reconnaît ce sexe, c’est celui de son Homme. Elle le suce avidement, il vibre dans sa bouche. Dans le même rythme le jouet se met en brande entre ses fesses. Elle suce, et se fait profondément sodomiser. Elle aime cette façon d’être totalement prise. Elle en jouit, son cri de plaisir est étouffé par le sexe au fond de sa bouche qui explose de plaisir.
Elle reprend lentement son souffle, un écouteur sort de son oreille, au creux de laquelle il susurre "Ce n’est pas fini, je ne suis pas seul…" Elle sourit, elle aime jouer ainsi. Elle ouvre la bouche, attend l’autre sexe. La main dans ses cheveux la guide, elle ouvre la bouche, tend la langue. Elle attend, espère l’autre sexe. Sa bouche se pose alors sur le sexe de l’autre, le sexe de cette autre qui est une femme. Elle jubile de plaisir en enfonçant sa tête entre les cuisses, bercée par les cris de plaisir de cette autre.


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mardi 22 décembre 2015

Psychologies et sodomie…

Dois-je vous préciser que, contrairement à ce que le titre pourrait laisser supposer le titre, l’objet de ce billet n’est pas de faire une analyse approfondie de la sodomie sur le plan psychologique, ni sur un autre plan au demeurant. Ce billet est simplement une réaction à un article publié sur le site psychologies.com et intitulé Pourquoi les hommes aiment la sodomie. Cet article citant quelques hommes aligne avec une belle allégresse, la sodomie c’est :
un cadeau de la femme, à se demander si les autres rapports sexuels sont tarifés ;
un jeu amoureux comme les autres, donc pas de raison particulière d’un parler ;
un ingrédient indispensable de la relation ; comme l’échangisme, le SM ;
une preuve d’amour ; alors que sucer une bite est juste une manière de dire bonjour.
Enfin une psychanalyste conclut en précisant que la pénétration anale a ceci de particulier qu’elle porte le poids d’un tabou moral et psychologique importante. Au-delà de la banalité des arguments qui m’ôterait presque toute envie de sodomie, force est de constater que, encore une fois, la sodomie côté masculin est exclusivement active. L’homme reste donc le seigneur et maître, or comme nous le savons depuis Saint-Paul 11-33, les voies du seigneur sont impénétrables.



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Radieuse.

Ce matin, je suis parti travailler en même temps que ma voisine. Elle était rayonnante, un sourire éclatant, elle vient de retrouver un emploi m’a-t-elle dit.
Visiblement ce retour à l’emploi la rend radieuse, et j’en suis heureux pour elle. Ou alors, elle a baisé toute la nuit, et je n’en suis pas moins heureux pour elle.



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lundi 21 décembre 2015

Apprendre…

Une phrase tirée d’une lecture dont je me dois de vous préciser qu’il ne s’agit nullement d’un roman initiatique "[elle] avait appris beaucoup de choses : par exemple, qu’elle avait un beau corps, attirant, et que ses grands yeux couleur de miel, ses lèvres pulpeuses, sa poitrine abondante, son postérieur rond et frémissant, ses deux fesses tendres étaient des éléments importants dans sa relation avec les gens."
Une phrase délicieusement écrite et qui me fait m’interroger sur la manière d’écrire le titre de ce billet…



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jeudi 17 décembre 2015

Il était un petit navire

Vous connaissez, je n’en doute pas, cette comptine enfantine. Je ne sais pourquoi elle m’est revenue en tête récemment, sans doute pas en raisin de ses qualités poétiques. À défaut de telles qualités, avez-vous noté le nombre d’allusions que peut contenir une telle comptine ?

"Il était un petit navire
Qui n’avait ja- ja- jamais navigué
Il partit pour un long voyage
Sur la mer Mé- Mé- Méditerranée
Au bout de cinq à six semaines,
Les vivres vin- vin- vinrent à manquer
On tira à la courte paille,
Pour savoir qui, qui, qui serait mangé,
Le sort tomba sur le plus jeune,
Le mousse qui, qui, qui s’mit à pleurer
On cherche alors à quelle sauce,
Le pauvre enfant, -fant, -fant sera mangé, "

Nous avons là un navire, dont l’on précise qu’il est petit, petit pouvant signifier petit par la taille ou petit par l’âge, qui n’a jamais navigué, qui n’est jamais allé sur la mer profonde. Ce petit, au sens de jeune, qui n’est jamais sorti, est l’image type du puceau.
Que va-t-il se passer, les vivres viennent à manquer. Mais de quels vivres parle-t-on, les vivres que l’on consommerait en mer s’ils n’étaient manquants sont-ils uniquement la nourriture ou aussi les partenaires sexuels ?
On titre alors à la courte paille, et le sort tombe sur le plus jeune. Le plus jeune renvoi alors au sens retenu pour le navire. Et n’est-il pas normal que ce soit le plus jeune qui ait la plus courte, la plus petite paille ?
Quant au sens de manger, il renvoie à la consommation qui peut-être sexuelle, les pleurs étant alors liés à la crainte devant l’acte sexuel.

Et l'on comprend peut-être mieux alors pourquoi les grands enfants, bercés dans leur petite enfance par cette comptine, aimaient tant les promenades en barque.



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mercredi 16 décembre 2015

La femme à la commode 3/4

Elle l’entend se lever, mais curieusement ses pas ne se dirigent pas vers la porte mais vers elle. Elle sent on souffle sur sa nuque, ses mains caressent ses longs cheveux, une main glisse sur son oreille, introduit un écouteur, l’autre main, l’autre oreille, un autre écouteur. Une musique de jazz, elle connaît cette musique. Mais elle ne sait d’où elle la connaît. Elle n’entend plus rien de lui. Elle frémit de se sentir ainsi isolée et offerte, lorsqu’un bandeau vient se poser sur ses yeux. Elle sourit, elle est infiniment offerte ainsi.
Quelques instants rien ne se passe, elle l’imagine ouvrant la porte accueillant l’Autre, parlant entre eux, l’Autre la découvrant, la regardant à son tour, la photographiant. Elle aime cette idée, se cambre plus encore, à l’extrême. Une main, la sienne lui semble-t-elle caresse ses seins, les pointes en sont dures, dressées. Un pincement, constant, lancinant, une pince sans aucun doute, elle sait que la seconde ne va pas tarder, elle sait aussi qu’il aime attendre, la laisser ainsi dans l’expectative. À ce moment-là il lui semble entendre derrière la musique de jazz une voix, un gémissement qui naît. Et là, elle se souvient, cette musique elle la connaît, c’est celle qu’ils écoutaient tous les deux il y a quelques jours, et le gémissement qui naît c’est elle, ce gémissement qui grandit, qui va grandir plus encore, qui va devenir supplication, cris de plaisir. Un pincement sur l’autre sein, en même temps cela se met à vibrer dans son sexe. Elle gémit plus fort, ne sachant plus si elle entend son gémissement d’aujourd’hui ou son gémissement ancien et restauré dans ses oreilles.


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mardi 15 décembre 2015

La femme à la commode 2/4

Elle aime ce moment où elle sent la main effleurer, caresser ses fesses, doucement, lentement voluptueusement, la caresse qui s’arrête, se suspend, reprend, s’arrête, se suspend, reprend, s’arrête, la main qui claque ses fesses, ce premier cri qu’elle ne peut retenir, son buste qui se relève un peu. Une main qui se pose entre ses omoplates, la voix qui lui intime de ne pas bouger, de ne pas parler. La main qui claque, son cul qui chauffe. Le désir qui l’emplit. Elle se cambre à l'extrême, sent son cul rougir, sent son sexe trempée de désir. La main la caresse à nouveau, caresse les fesses, glisse entre les cuisses, effleure le sexe offert. Un sifflement et le claquement mat du cuir sur sa peau, elle gémit, le cuir cingle ses fesses, ses cuisses, elle gémit, geint son désir
La main la caresse à nouveau, les ongles la griffent doucement. Elle ondule, se tend, s’offre comme une femelle impudique. Un objet la pénètre, fouille son sexe. Elle sent son cul s’ouvrir lentement sous la pression d’un autre objet qui s’enfonce lentement, très lentement en elle, tout au fond d’elle. Elle hulule son plaisir.
Elle est devant sa commode, penchée, le torse à l’horizontale, les avant-bras sur la commode. Son sexe, son, cul sont pris. Elle sait le sourire de l’homme derrière elle. Elle l’entend s’asseoir. Elle sait le regard de l’homme qui la fouille plus encore. Et, la voix qui lui doit combien il aime la regarder ainsi, combien l’image est belle et qu’il faudrait la conserver. Dans un sourire, elle lui répond lui rappelant qu'il dit lui-même être bien incapable de réussir une photo, quel dommage, ajoute-elle.
La réponse cingle comme un coup de cravache " Insolente, crois-tu donc que je ne sache sous-traiter ? " Sa voix perd de son assurance, elle interroge " sous-traiter ?" Il se lève, la main à nouveau entre les omoplates " Ne bouge pas, il arrive, je viens de recevoir son SMS." La sonnette retentit…


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lundi 14 décembre 2015

En voiture

Peut-être avez-vous vu, comme moi, le documentaire diffusé sur Arte, En voiture autour du monde. IL est consacré à Clärenore Stinnes qui à l’âge de 214 ans, en 1927 a entrepris le premier tour du monde en automobile. Au départ de ce tour du monde son équipe était constituée de deux mécaniciens et d’un cameraman. Les deux mécaniciens abandonneront en cours de route, elle finira cette aventure avec le seul cameraman qui la vouvoyait au départ et divorcera pour l’épouser peu de temps après leur arrivée.
Rien de bien affriolant à, a priori, mais encore une fois mon imagination s’est emballé comme un moteur d’e Adler Standard 6. J’ai tout d’abord pensé au tube des Chevaliers du fiel "Je te prendrai nue dans ma Simca 1000." Mais surtout m’est revenue en tête une discussion avec une vieille amie. Un jour en compagnie de sa petite-fille âgée d’une vingtaine d’années, elle me racontait que, jeune, elle avait travaillé à la chaîne dans les usines Simca. Elle ajoutait, le regard pétillant, à la pause nous avons participé au repeuplement de la France d’après guerre sur les banquettes arrière des voitures en cours de montage. Elle fut hélas interrompue par un cri indigné de la petite – fille rougissante.



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samedi 12 décembre 2015

Quelques difficultés…

Puisque d’aucune m’a demandé pourquoi je n’avais pas encore publié la suite de mon dernier texte érotique, voici quelques éléments de réponse.
Lorsque l’on prend la plume pour écrire un texte érotique, si le texte est quelque peu réussi, quelque peu émoustillant, il devient très vite difficile de conserver les deux mains sur le clavier alors que l’on aurait vite tendance à se saisir de la plume. Vous conviendrez qu’écrire dans de telles conditions peut amener à perdre sa concentration, à laisser divaguer l’imagination et la main. Mais je dois surtout préciser que, contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce retard ne signifie absolument pas une perte d’intérêt qui serait retombé comme un soufflé, bien au contraire il se dresse fièrement !



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jeudi 3 décembre 2015

La femme à la commode 1/4

Le titre pourrait prêter à confusion aussi je vous précise que l’objet de ce billet n’est pas de commenter quelque œuvre d’un peintre flamand du 18e siècle. Je n’ai pas prévu de concurrencer Artips, quoiqu’il puisse être fort intéressant de reprendre ce concept avec un point de vue plus coquin. Mais avant de m’égarer plus dans mes digressions, je reviens à l’objet de ce texte qui sans être un tableau en est un aussi. C’est en effet une vision, une image. Elle est devant sa commode, penchée, le torse à l’horizontale, les avant-bras sur la commode. Elle a les jambes légèrement écartées, gainées de bas noirs. Sa jupe rouge est largement troussée sur ses hanches, elle porte un haut blanc, et sa culotte baisée à mi-cuisses, souligne son cul. Il est derrière elle sur un fauteuil, il la regarde ; il sourit. Elle a la tète dans ses avant-bras, ne voit pas ce sourire, mais elle sait ce sourire. Elle attend, elle frémit de désir. Elle sait son regard sur elle, elle sait qu’il aime qu’elle soit ainsi ouverte, offerte, sans pudeur, elle sait qu'il regarde son sexe humide de désir, qu'il regarde son cul. Elle imagine déjà les caresses de des mains, de sa langue sur ses fesses, et l’alternance brutale, soudaine des claques sur son cul qui rougit. Elle entend déjà le sifflement du cuir qui va cingler son cul. Elle brûle d’envie, elle a hâte d’être son jouet de plaisir. Elle a hâte qu’il plante son sexe dans ses fesses. Elle n’est plus que désir, elle n’est plus que pour ses désirs. 

La femme à la commode 2/4
La femme à la commode 3/4 
La femme à la commode 4/4 
 


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mercredi 2 décembre 2015

Le jour après…

Baisez, foutez, niquez ; bitez, tronchez, forniquez, rataconniculez (merci à Rabelais), bourriquez, tirez un coup, ramonez, limez, gnougnougnaffez la femme d’André sur son balcon (en présentant toutes mes excuses à Jacques Brel). Jouez avec un homme, une femme, un travesti, à deux, à trois, à quatre, à ne plus savoir combien vous êtes. Jouez en tous sens.
Mais protégez-vous, hier c’était la journée mondiale de lutte contre le sida, mais la prévention c’est encore et toujours tous les jours, et toutes les nuits.
Nous avons déjà paru trop d’ami-es, nous avons déjà tenu dans notre bras trop d’ami-es en pleur.
Alors, s’il vous plaît, protégez-vous, protégez-vous les uns les autres (merci à Saint Jean), et  n’arrêtez pas pour autant de jouir sans entrave, mais avec un préservatif !



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