- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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lundi 18 avril 2016

Mots d’hier…

Trouver des citations à vous offrir est pour moi à la fois une passion et un plaisir. Je dois vous avouer cependant que parfois j’hésite à détourner une phrase, que je n’ose l’extraire pour en jouer, voire en jouir. Mais finalement, je finis toujours par céder et je vous offre donc encore une fois une jolie citation à propos d’elle "qui se donne à tous et que personne n’a pénétrée jusqu’à fond." J’imagine déjà vos réactions à ces mots, réactions d’autant plus jouissives à imaginer qu’elles sont bien loin du sens du texte initial.
Ces mots sont en issus d’un ouvrage merveilleux d’où mon hésitation à extraire des mots, d’un ouvrage de Stefan Sweig, Le monde d'hier. La phrase complète, concernant Paris d’avant la Première Guerre mondiale est la suivante "Nulle part, avec des sens éveillés, on n’éprouvait que sa jeunesse était accordée à l’atmosphère comme dans cette ville qui se donne à tous et que personne n’a pénétrée jusqu’à fond."
Et j’espère que, vous aussi, vous trouvez cette phrase encore plus belle que l’extrait que je vous avais offert.




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