- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


samedi 3 septembre 2016

Méli-mélo, samedi 3 septembre

Cette fois-ci je suis en progrès, le méli-mélo est prêt à la date prévue.
Encore une fois une semaine paisible, avec toutefois un événement que l’on pourrait sans aucun doute de significatif, mais je ne vous en dirai pas plus ici, l’idée de stimuler votre imaginaire m’est délicieuse. Et je ne doute pas que les résultats de ces stimuli ne soient fascinants, même s’ils restent bien éloignés de la réalité.
Cette semaine fut aussi riche en lecture avec une charmante citation qui aurait pu si j’étais plus assidu au travail donner lieu à un billet. "Ce n’est pas la femme qui est infidèle, ce sont ses jambes. Non, non, ce n’est pas la femme, c’est sa jupe et ses seins, ses yeux et sa bouche qui cherchent un amant…" N’y a-t-il pas là matière à réflexion ?
Mais entre deux lectures, j’ai aussi quelques activités et, comme beaucoup certes, en ce début d’année scolaire, je suis allé à un forum de rentrée des associations sportives, culturelles. Rien que ce très classique, de jeunes et jolies sportives, et charmante dames venant inscrire leur progéniture à quelque activité, mais surtout une démonstration de danse antillaise, fascinante à se frotter ainsi, l’on en aurait cru qu’ils allaient baiser debout sur la scène.
Pour finir une dernière citation, sortie cette fois d’un film, un toast porté par un marin "A nos petites amies et à nos femmes qu’elles puissent ne jamais se croiser." Là aussi matière à réflexion !



Licence Creative Commons
Méli-mélo, samedi 3 septembre de Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…