- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


mercredi 30 novembre 2016

Troublé, et jaloux…

Trouble et jalousie, étrange et délicieux mélange. Mais la cause de cette dualité de sensation n’est pas une femme, et pas un homme pour autant, la cause en est tout simplement, si tant est que cela puisse être simple, un texte, un texte que je suis jaloux de n’avoir écrit, bien qu’il fût écrit bien avant ma naissance et troublé par les images qu’il suscite en moi.
Après en avoir ainsi parlé, il est naturel que je cite ici " Bien qu’ayant chaud, elles souriaient et chacune était une joyeuse brise. Elles souriaient des lèvres, des yeux, des seins, prisonnières de leurs robes vaporeuses et serrées, avec des gants guillochés qui leur montaient jusqu’au coude" Les yeux qui sourient, cela est presque banal, en littérature au moins, dans la réalité les belles aux yeux souriants sont plus rares, mais sourire des seins, quelle belle trouvaille, quelle belle image, ne trouvez-vous pas ?
Une dernière remarque pour conclure, les gants guillochés sont aussi jolis que peu évidents…



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lundi 28 novembre 2016

Un vibromasseur silencieux qui fait du bruit…

Peut-être avez-vous déjà vu cette information circuler, l’organisation FutureSax qui accompagne et récompense les start-ups innovantes en Saxe, a attribué son troisième prix annuel aux concepteurs d’un vibromasseur silencieux. Selon l’article que j’ai découvert, le vibromasseur, décrit comme une tige en caoutchouc souple d’environ 30 centimètres, serait une véritable révolution. Mais le Alternativ für Deutschland (AfD) ne l’entend pas de cette oreille, et s’érige en défenseur de l’ordre moral. Une telle érection, en défenseur de l’ordre moral s’entend, a entraîné une réponse du ministère concerné "cela en dit long sur ce parti", 30 centimètres, en effet, c’est long !



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samedi 26 novembre 2016

Méli-Mélo, samedi 26 novembre 2016

Bien que je sois encore une fois en retard, comment pourrais-je ne pas évoquer ici le black Friday qui a conclu cette semaine ? Je ne prétends pas vous donner un avis sur ce que furent les meilleures affaires du jour, fut-ce dans le domaine des sextoys. Je souhaite évoquer ici l’apparition récente en France de ce black Friday après Halloween quelques années auparavant. Ne voyez pas là un chauvinisme exacerbé, mais force est de constater que si les États-uniens ont des traditions dignes d’intérêt, quoique Thanksgiving soit le cauchemar des dindes, d’autres cultures sont tout aussi intéressantes. Je ne doute pas là que vous pensiez tous, toutes au shibari. Toutefois ce serait trop facile de s’en arrêter là et ce ne serait pas un méli-mélo si je n’emmêlais un autre élément à ce vendredi. Il y a quelques jours j’assistais à un débat durant lequel une jeune femme évoquait les différences entre la sensualité européenne et la sensualité arabe plus subtile, nous fûmes nombreux, me semble-t-il à être terriblement sensible à son intervention.
Égayons donc ce black Friday de mille couleurs !



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lundi 21 novembre 2016

Culture orale ?

Bien que ce billet fasse référence à une culture orale il n’en prend pas moi sa source dans un roman, mais dois-je vous rappeler que le chantre de l’oralité, Amadou Hampâté Bâ, a écrit quelques livres qui sont de pures merveilles. Je m’égare là vers des sommets que je n’attendrai pas ; et il est temps de revenir à la citation plus terre à terre, voire plus en tête à queue que je souhaitais vous offrir aujourd’hui "La fille qui prend soin de moi ne s’intéresse pas aux bavardages, elle ne perd pas de temps. Deux ou trois baisers sur les lèvres, puis sa tête descend pour s’occuper du reste."
Belle oralité indubitablement !



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vendredi 18 novembre 2016

Méli-Mélo, vendredi 18 novembre 2016

Voici donc ce soir un méli-mélo tardif mais dans les temps, de peu certes.
Vous souvenez-vous de Laurette ? "C’était bien chez Laurette. On y retournera." Je ne vais pas évoquer dans ce billet mes années de jeunesse et mon "chez Laurette" mais plutôt d’un endroit fort sympathique bien que personne ne s’y appelle Laurette.
Si je vous dis que vous pouvez entendre comme accueil "ici on fait tout devant vous" ne pensez pas pour autant que j’évoque là une salle de spectacle érotico-pornographique. Cette jolie déclaration vise simplement la manière dont la chef prépare avec brio ses plats dans une cuisine ouverte sur la salle.
Pas de quoi fouetter un chat, pourriez-vous dire. Mais cette déclaration devint pleine de sel lorsqu’une cliente évoquant un ouvroir indiquait avec le même bel enthousiasme que dans un ouvroir il faut s’occuper les doigts, ne pas rester dans rien faire.
Je m’occuperais bien parfois les doigts avec…



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jeudi 17 novembre 2016

Un travail d’orfèvre?

Lorsque l’on commence à lire un livre habituellement classé dans les incontournables de la littérature d’Europe centrale, l’on ne s’attend pas à trouver dans les premières pages les paroles d’une chanson issue du patrimoine culturel français :
"Trois Orfèvres, à la Saint-Eloi,
S’en allèr’nt dîner chez un autre orfèvre…
Trois orfèvres, à la, Saint-Eloi "
Pour le cas où vous méconnaîtriez cette chanson, je vous précise que lesdits orfèvres après avoir baisé "la mère en tétons, le père au cul, la fille au con" ont baisé la servante, puis
"Les orfèvres, non contents de ça,
Montèr’nt sur le toit pour enculer Minette ;
Les orfèvres, non contents de ça,
Montèr’nt sur le toit pour enculer le chat: "
Si j’aime baiser et lire le cas échéant, j’apprécie peu les acrobaties sur les toits. Peut-être est-ce un effet de l’âge. Si certain-es sont stimulé-es par le côté périlleux, pour ma part je préfère le confort douillet.
Mais, trouver une telle chanson dans cet ouvrage n’avait finalement rien de surprenant. Quelques pages auparavant les tantes du narrateur ne lui déclaraient-elles pas "Qu’est-ce que les gens vont dire ? Si tu ne veux pas devenir un homme de l’art, sois au moins un homme à femmes ou un homme de cheval, mais au moins que l’on sache à quoi s’en tenir…" Certes l’on pourrait leur objecter qu’être un homme à femmes est un art, pas à la portée de tout un chacun, voire qu’être un homme à femmes et un homme de cheval n’est pas contradictoire, Elles auraient donc pu lui suggérer de devenir un étalon, voire, avec un léger anachronisme, un nouveau Rocco Siffredi et, orfèvre en la matière, courser allègrement une chatte sur un toit brûlant !


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mardi 15 novembre 2016

Quelle tristesse

Je viens de découvrir un article intitulé "Les mots coquins les plus susurrés sous la couette" sur le site le Bonbon.
L’attaque est superbe, beau résultat d’une formation dans une école de journalisme : "Sade disait : « Les femmes bandent par l’oreille »." Mais hélas, la formation devait être de courte durée car si l’on peut bander au premier la bandaison ne durera pas, quelle platitude, sans mauvais jeu de mots. "Les femmes préfèrent d’ailleurs entendre des mots de domination et inversement pour les hommes." Oui, et ?
Peut-être parce que d’une manière habituelle ce sont les femmes qui sont prises et les hommes qui prennent, et il ne saurait que temps de partager les rôles ici aussi. Et si l’on ajoute que selon cet article les chercheurs ont fait émerger 8 grandes tendances et que la dernière est l’appel réflexe : "Oui." Mon réflexe serait, dois-je l’avouer, d’aller bander ailleurs.


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lundi 14 novembre 2016

Affreusement détournée

J’abuse parfois des citations, What did you expect ?
Mais j’avoue dans ce billet avoir vraiment forcé le trait, mais l’occasion était trop belle, je vous en laisse juges, comment ne pas relever l’évocation de "la règle constante du cœur humain qui veut que la punition des uns est ressentie comme une jouissance par les autres."
Cette phrase ne devrait-elle être gravée sur le mur, non lors du banquet de Balthazar roi de Babylone, mais lors de soirée SM ?



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dimanche 13 novembre 2016

Courir…

Comme tous les jours, ou presque, j’ai couru aujourd’hui. Le temps était gris, et soudainement sont apparues devant moi deux charmantes coureuses, en l’occurrence je dois avouer que je ne pouvais apprécier leurs charmes que vu de dos et ils étaient délicieusement mis en valeur par les cuissards qui les moulaient. Un grand-père sur le bord de la coulée verte m’a lancé un joyeux " Vous avez raison, courrez vers là !"
Malgré ce charmant encouragement, je n’ai pas rattrapé les deux belles. M’est alors revenue en mémoire une phrase issue d’une lecture : " Parfois les gazelles fuient si vite que même le sable humide n’arrive pas à conserver leurs traces."




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samedi 12 novembre 2016

Méli-Mélo, samedi 12 novembre 2016

Et à l’heure du méli-mélo je suis encore une fois en retard, peut-être un agenda perturbé par ce 11 novembre m’ayant offert un week-end de trois jours. Je n’évoquerai pas pour autant ici le bonheur, voire le plaisir des week-ends de trois jours offrant plus d’occasion pour des soirées potentiellement jolies voire des afters encore plus jolis et jouissifs. Dois-je préciser que ne pas l’évoquer ici ne signifie pas que vous ne lirez pas bientôt un tel billet.
J’en reviens donc à quelques propos entendus ici ou là. J’ai entendu une charmante dame déclarer à son amie " je l’ai vu récemment, nous nous sommes croisés en sens inverse." Certes un soir une inconnue m’avait déjà fait part de son inquiétude étant, disait-elle, suivie devant. Il faut toutefois avouer que ce pléonasme et cet oxymore me laissent songeur, ces deux inconnues auraient-elles toutes deux un défaut de maniement de la langue ou bien visaient-elles d’autres types de croisements, entrecroisements, de suivi par-devant ou par-derrière.. 



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mercredi 9 novembre 2016

À deux, ou?

Ce qu’il y a de bien à le faire à deux, dit-elle, c’est que quand tu n’as pas trop envie l’autre te pousse. Par contre quand c’est l’autre qui n’a pas trop envie, il faut que tu sois franchement motivée. Quand tu fais ça seule, finalement c’est peut-être plus simple, c’est quand tu as envie!
Non, ne rêvez pas, la dame, cotée de moi au restaurant, n’évoquait pas là ses pratiques sexuelles, mais sa fréquentation de la piscine, quoique, dans la piscine, ce soit bien aussi !




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lundi 7 novembre 2016

Circé

Ainsi, ce serait aujourd’hui le véritable premier jour d’hiver. Pourtant ce matin lorsque dès potron-minet je suis sorti pour courir il faisait un joli froid. Moins d’une heure plus tard, ce joli froid a cédé la place à une pluie glacée qui transperce les gants pendant les chaussures et chaussettes absorbent l’eau des flaques qui se forment au sol. Une excellente façon en somme de commencer la journée.
Pour se réchauffer le corps et l’âme, j’ai trouvé et vous livre ces jolies phrases décrivant, si tant est que l’on puisse parler là d’une description, une femme. "Cette femme était une Circé qui n’avait pas trouvé d’Homère pour la célébrer. […] C’est un certain type de femme, une femme que l’on peut trouver dans les légendes grecques, dans les pages d’un roman de D’Annunzio, ou dans un opus wagnérien. On pourrait la rencontrer dans un bordel du XVIIIe siècle. Elle n’a pas de maison, mais un simple lieu de rendez-vous. Son âge demeure mythique : elle n’est ni juvénile ni décrépite. Ses traits ont le charme et la splendeur des ruines, adoucies, veloutées par le passage du temps."
Cette description me donne, curieusement, des envies inavouables, même si Circé est présumée être détentrice de puissants pouvoirs magiques. L’exemple le plus connu concernant ses talents de sorcière est celui bien connu évoqué dans l’Odyssée où sur l’île d’Edéa elle transforme les compagnons d’Ulysse en pourceaux. Est-ce donc là un si grand pouvoir ? Il semble avoir connu bien des femmes devant lesquelles maints hommes se comportaient comme de véritables porcs…




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vendredi 4 novembre 2016

Méli-Mélo, vendredi 4 novembre 2016

Les vacances sont terminées, j’ai repris le chemin, non pas vers l’école avec mon cartable bourré de coups de poing, mais vers le bureau avec un cartable bourré de bouquins. J’ai découvert lors de mon trajet une merveilleuse expression, l’auteur évoque allègrement la création d’une biennale annuelle. Mais il s’agissait là d’une biennale de la poésie, ce qui l’a sans aucun doute amené à se sentir autorisé à prendre quelque licence.
J’ai fait de même quelques instants plus tard, une fois au bureau lorsqu’un collègue me présentant une nouvelle recrue qui venait pourvoir un poste longtemps resté vacant, déclara " Son arrivée ouvre de belles perspectives !" Regardant le décolleté de la nouvelle venue, j’opinais du bonnet, D ou E en l’occurrence, et branlai du chef !



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jeudi 3 novembre 2016

Un verre en commun

- Tu vas donc connaître mes pensées.
- Et ce sera pire que la dernière fois ? dit-elle en saisissant son verre.
- Bois, tu verras bien, répliqua-t-il en la déshabillant du regard.



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mercredi 2 novembre 2016

De subsellĭo

Pour le cas où certain-es de mes lecteurs-trices ne seraient pas latinistes, le titre du billet pourrait se traduire littéralement par "au sujet de la banquette" ou plus simplement "la banquette." Il aurait pu aussi s’appeler "Comment l’esprit vient, non pas aux filles, mais au blogueur."
Je lisais un poème héroï-comique, selon la quatrième de couverture, et j’avais découvert un passage dans lequel un huissier était contraint, glissé sous la banquette, en chien, de japper la plainte. J’arrive alors dans un fort sympathique restaurant où j’entends, quelques instants après, un non moins sympathique serveur dire à un jeune homme accompagné " plutôt sur la chaise, les femmes préfèrent la banquette." Jappent-elles pour autant ?





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Une joyeuse lecture

En cette journée de reprise ô combien joyeuse de mon activité professionnelle, j’ai pris le RER avec un livre comme compagnon de voyage. C’était un roman policier dont l’action se déroule au moment de la Régence. Le cas échéant, si vous souhaitez de plus amples renseignements sur cette période, confiez vos interrogations soit à votre navigateur préféré, soit à votre blogueur préféré et modeste de surcroît.
Les titres des chapitres m’avaient laissé rêveur, se succèdent en effet "à la muse jolie", "du bon usage des dames", "le branle à cette affaire", "une muse taquinée", "par-derrière et par-devant…"
Je ne fus pas déçu par cette lecture, par cette intrigue rondement menée, mais l’intrigue n’était pas la seule à être ainsi menée, je vous livre pour preuve une demande formulée par l’un des roués du Régent " mettre ma clé dans la serrure de votre petit conin et, aussi, dans cette autre ouverture, la plus étroite."



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mardi 1 novembre 2016

La première…

J’écoutais paisiblement Xavier Mauduit sur Arte, rien que de très sérieux, et a priori il n’y avait aucune raison que je trouve là matière pour un nouveau billet. Et pourtant, quelle ne fut mon étonnement lorsque je l’entends évoquer un article signé Théophile Gautier dans lequel ce dernier décrivait les sensations de sa première pipe. J’ai immédiatement dressé les oreilles, et rien d’autre, mais je fus fort cruellement déçu lorsque je constatai qu’il s’agissait la de sa première pipe d’opium…



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