- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


samedi 22 juillet 2017

Festival, encore…

À la publication de mon dernier billet, quelles lectrices m’ont envoyé de gentils messages pour m’assurer de leur assiduité voire fidélité, en tant que lectrice, faut-il le préciser. Je tiens à les en remercier. Et pour rester dans l’ambiance festivalière, je me dois quand même de vous indiquer que, hélas, mon lectorat est plus nombreux que le public de certaines excellentes pièces de théâtre du off.
Mais ne me prenez pas à l’envers, ou plutôt ne prenez pas mes propos à l’envers. Il s’agit non d’une incitation à moins me lire mais au contraire une incitation à aller plus voir les spectacles du off et à me lire plus encore avec une jouissive allégresse…



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mercredi 19 juillet 2017

Mon plaisir, suite

Les lectrices, lecteurs assidu.es se souviennent sans aucun doute d’un billet que j’ai publié le 20 août 2010 et intitulé "le bon plaisir." Et je dois avouer que j’aime commencer ainsi un billet, pouvant ainsi laisser croire aux âmes naïves que j’ai un lectorat fidèle et nombreux. Mais je dois te l’avouer "— Hypocrite lecteur, — mon semblable, — mon frère !" tu es bien peu nombreux à me lire et c’est pour cela que je cite ce texte précédent pour t’inspirer le désir inextinguible de lire un second billet.
Après une telle digression il est plus que temps que je revienne au sujet de ce billet qui aurait pu s’appeler aussi Festival, suite.. Donc si à Montauban un bus arbore fièrement AMONPLAISIR comme destination, Arles n'a rien à lui envier. Les panneaux indicateurs vous invitent à rejoindre à la fois MONPLAISIR et TREBON. Quels sens faut-il donc donner à cette signalisation ?



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samedi 15 juillet 2017

Festival,

Même si j’aime Paris, il est agréable aussi de quitter cette ville pour mieux la retrouver certes, mais aussi pour revenir dans le Sud. Cette année j’ai commencé mes vacances par un passage à Avignon. Qu’en dire ? La ville est toujours aussi belle, le soleil radieux les cigales assourdissantes, et les femmes diablement tentantes. Comment pourrais-je résister alors au plaisir de vous livrer une citation qui semble faite à merveille pour décrire l’ambiance d’une soirée. "il y avait des regards de feu, des sourires languides qui laissaient pressentir des choses impossibles"


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mardi 11 juillet 2017

Des paillettes ou rien ?

Des paillettes dans le vagin, voici donc la nouvelle pseudo-mode lancée par un fabriquant en manque non pas d’orgasme mais de profits. De nombreux articles ont donc fleuri pour dénoncer à juste titre les dangers de cette pratique.
Le producteur de ces pilules aurait, comble de cynisme, pris les devants en précisant que "tous les gynécologues vous conseilleront de ne RIEN mettre dans votre vagin." N’est-ce pas là jeter le bébé avec l’eau du bain ? Entre le danger de mettre les dites paillettes dans le vagin et le bonheur d’y introduire un petit rien, voire un énorme, il y a un monde, le monde du plaisir.



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vendredi 7 juillet 2017

Aléa ?

Lors d’une réunion diablement sérieuse vint sur la table la question, ô combien fascinante du tirage au sort pour participer à des groupes de travail. Le moins que l’on puisse dire est que les différentes interventions traduisaient un certain scepticisme. Mais un des intervenants défendait mordicus ce dispositif en faisant valoir que dans un des groupes de travail deux jeunes femmes tirées au sort s’étaient fortement impliquées.
La formulation fut cependant quelque peu ambiguë. " Les deux jeunes femmes tirées ont déployé une grande activité !"



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jeudi 6 juillet 2017

Journée mondiale

Le 6 juillet journée internationale du baiser, et non pas journée du baiser international, quoique lorsque je croise certaines touristes… Je vous avouerais toutefois que, dans la catégorie des journées internationales, ma préférée reste indubitablement le 21 juin, journée internationale de la lenteur. Malgré cela je ne pouvais laisser passer cette journée sans publier un petit texte, un clin d’œil.
Mais pour éviter que quelque esprit chagrin ne commente cette publication d’un " Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !" je conclurai par une jolie définition du baiser.
"Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ?
Un serment fait d’un peu plus près, une promesse
Plus précise, un aveu qui veut se confirmer,
Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer ;
C’est un secret qui prend la bouche pour oreille,
Un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille,
Une communion ayant un goût de fleur,
Une façon d’un peu se respirer le cœur,
Et d’un peu se goûter, au bord des lèvres, l’âme !"



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mercredi 5 juillet 2017

Votre avis ?

Je tiens, en auriez-vous douté, en très haute estime les lectrices et lecteurs. C’est pour cela que je sollicite votre avis aujourd’hui. Je viens de croiser une personne avec qui je suis en relation professionnelle. Je ne vous précise ni où ni à quelle heure, cela n’a aucune importance dans le propos et ne ferait qu’attiser votre imagination bien assez débridée sans cela.
Je croise donc cette charmante blonde au regard si joli que j’en oublierais presque de laisser le mien plonger quelques instants dans son décolleté. Après quelques remarques d’ordre professionnel, elle m’indique qu’elle déménage dans les jours qui viennent car, ajoute-elle avec un immense sourire, elle se sépare de son compagnon.
Dois-je voir là autre chose qu’une simple information estivale?


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Au fond

Certes je pourrais voire devrais avec un tel titre évoquer ici le duo des pécheurs de perles.
"Au fond du temple saint
Parée de fleurs et d’or,
Une femme apparaît !
[…]
Oui, c’est elle !
C’est la déesse
plus charmante et plus belle !"
Pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas ce superbe duo, encore une fois reportez-vous à votre navigateur préféré, ce qui, en l’occurrence, est diablement approprié. Si vous n’avez pas tout compris à la remarque précédente, il est plus qu’urgent que vous vous ruiez sur votre navigateur.
Mais, l’objet de ce billet était tout autre et je me suis encore une fois laissé entraîner et ai quelque peu dérivé de l’objectif initial, encore une histoire de navigation…
Ce billet était tout simplement motivé par un mail reçu aujourd'hui, évoquant une œuvre d'art, et commençant par "Aujourd’hui : Au fond du trou Où l’on se raconte des histoires."
De bien belles histoires en perspectives pour des billets à venir…



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mardi 4 juillet 2017

Sur la même veine…

Pour poursuivre, à défaut de la même veine, sur une veine analogue, je vous offre donc aujourd’hui une seconde citation. J’entends déjà les esprits chagrins s’écrier que je tente ainsi de justifier mon absence de publication en vous laissant accroire que je me suis plongé sans relâche dans la lecture.
Peut-être, mais qu’importent nos motivations les plus profondes, et je ne commenterai pas cet adjectif. Après donc les lectures érotiques, voici les rêves érotiques avec cette jolie phrase "Les tempes et le sexe parcourus de battements, je ferme les yeux pour tomber dans l’exaspérante absurdité des rêves érotiques."
Je vous laisse juges de cette exaspérante absurdité.



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Un (trop) long silence

Je me rends compte soudainement que je n’ai rien publié depuis le début officiel de l’été, c’est un délai abominablement long. Mais si je n’ai rien publié pendant tout ce temps je n’en ai pas moins vécu, écrit des textes à retravailler encore et encore, et lu sans relâche.
Je vous offre donc aujourd’hui une superbe citation tirée d’un roman dont l’action se situe dans l’Angleterre victorienne, mais qui reste hélas toujours d’actualité. "Quand je vois les élucubrations cyniques et invraisemblables qui passent aujourd’hui pour de la littérature érotique, j’aurais honte de les montrer au rustre qui ferre mes chevaux…"
Mais je ne vous dévoilerai pas ce que furent mes lectures de ces derniers jours !




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