- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


mardi 31 octobre 2017

Au bord de l'océan…

Quelques jours de vacances au bord de l'océan, une pile de livres à lire, mon clavier pour écrire, de superbes endroits pour courir, du bon vin, de superbes poissons, que demander de plus ? Et le diable me susurre cette réponse dans le creux de l'oreille, " quelque accorte touriste ou ilienne en manque de compagnie…"


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lundi 30 octobre 2017

A propos d'un regard

Que n'avons-nous dit, que n'ai-je dit au sujet d'un regard, notamment de son expressivité, même si souvent l'on croit lire plus que l'on ne lit dans un regard, même si souvent l'on croit lire ce que l'on aimerait y lire. Mais j'ai rarement trouvé plus jolis mots pour évoquer un regard
"Et les yeux humbles des putains
Aux cils voilés experts aux feintes…
Et les yeux humbles des putains
Nous consolent mieux que les saintes."
Une sublime consolation !


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dimanche 29 octobre 2017

Encore des plaisirs de la lecture…

Un des nombreux plaisirs de la lecture est de découvrir parfois au hasard d'une lecture, et souvent à l'endroit où on les attend le moins de magnifiques mots, c'est ce qui vient de m'advenir. Je vous laisse apprécier ces mots "Peter était jaloux des mots qui suscitaient un tel plaisir chez sa femme. Les mots semblaient la caresser, la pénétrer, et la toucher comme il voulait le faire, lui. Il aurait voulu se réserver tous ses gémissements."
Je rêve depuis à l'effet que pourraient avoir mes mots…


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samedi 28 octobre 2017

Une heure de plus...

Cette nuit nous aurons donc une heure de plus au creux de la nuit. Que ferons-nous de cette heure supplémentaire ? Pour certain•es ce sera une heure de plus pour rêver, pour  les plus beaux, les plus fous des délires oniriques. Pour d'autres de sera une heure de plus pour réaliser de merveilleuses folies, pour aller au bout de ses envies, de ses folies.
Mais quoique nous en fassions les un•es et les autres, n'oublions de profiter de cette heure-là et de toutes nos autres heures, vivons intensément, furieusement chacune de nos heures, chacun de nos instants !


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Maxim's

Connaissez-vous Maxim's ? Non pas le restaurant, la chanson de Serge Regiani ? Pour vous éviter de vous lancer dans une longue et fastidieuse recherche, en voici les paroles :
"Ah baiser la main d'une femme du monde,
Et m'écorcher les lèvres à ses diamants,
Et puis dans la jaguar, brûler son léopard,
Avec une cigarette anglaise,
Et s'envoyer des dry, au Gordon et des Pimm's,
Number one avant que de filer chez Maxim's. Shhhh...
Grand seigneur, dix sacs au chasseur,
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Enfin poser ma pelle et chauffer ma gamelle.
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai..."
Avec tout le respect que je dois à Serge Regiani, je me suis permis ce pastiche.
"Ah baiser le sexe d'une femme du monde,
Et m'écorcher les lèvres à son piercing,
Et puis dans la jaguar, péneter la cougard,
Avec une capote anglaise,
Et s'envoyer des meuf au cul chaud et des girl's,
Number one avant que de filer aux chandelles. Shhhh...
Grand seigneur, dix sacs au chasseur,
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Enfin baisser mon froc et branler ma quéquette.
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai...
Ouai-ouai-ouai-ouai-ouai-ouai..."


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Maxim's d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International

vendredi 27 octobre 2017

Ici ou là…

Je vous offre, mais est-ce vraiment un cadeau, régulièrement des citations, et donc encore une fois de jolis mots "Les vieux entrepôts, sur les quais des quartiers industriels, les bancs durs et mouillés de squares, les portes cochères des immeubles officiels où s'engouffrait le froid – c'était là le théâtre habitue de nos ravissements amoureux."
Ce texte, quelque peu détourné lors de l'extraction de son contexte, est superbe mais au-delà m'a donné quelques idées pour quatre récits à venir.


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jeudi 26 octobre 2017

Des temps longs…

L'histoire nous a habitués aux temps longs, je n'en fus pas moins surpris par une analyse entendue aujourd'hui dans l'émission d'Arte, 28 minutes au sujet de l'obélisque de Louxor qui est installée au centre de la place de la Concorde, où elle fut dressée en 1836, par deux cents grenadiers comme Karl Marx le rappelle dans une étude célèbre. Le transport de Louxor à Paris fut fort long et fut ainsi commenté lors de cette émission "Il faut une dizaine d'année entre les préliminaires et l'érection." Un temps long, disais-je, mais quelle belle érection !


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Les joies de la lecture, et autres….

Lorsque je découvre une telle citation, comment pourrais-je résister au plaisir de vous l'offrir ?
" –Moi, j'aurais su quoi faire avec. Boum, direction la Jamaïque, un beau rasta, un bon livre…
- Minute. Tu es avec un rasta, et tu lis un livre ?
- Eh oui. Chacun des deux a un rôle à jouer. Par exemple, un rasta, c'est bien quand c'est dur, mais pas un livre."
Après cela ne venez pas me dire qu'il est dur de lire un texte….


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Une langue jouissive

Ce billet n'est nullement un traité consacré à la fellation, le cunnilingus, l'anulingus ou autre pratique labiale. Il n'est pas consacrée à la langue comme organe mais à la langue comme système de signes vocaux et/ou graphiques, conventionnels, utilisé par un groupe d'individus pour l'expression du mental et la communication. J'aime les mots, ne le saviez-vous donc pas ? Et le plaisir de la langue peut se nicher là où l'on attendrait le moins. Au dix-septième siècle eut lieu un grand débat sur l'orthographe qui générât de nombreux écrits. Dans l'un d'entre eux pour illustrer l'épineux problème de l'accord ou non des participes présents et gérondifs l'exemple choisi est celui des femmes jouissantes, choix d'autant plus joli que l'auteur n'est autre qu'un abbé. Certes je dois préciser que l'exemple exact est femmes jouissantes de leurs droits et l'on pourrait donc me taxer de mauvaise foi. Je tiens à préciser à ma décharge que d'une part les femmes ont tous les droits d'être jouissantes, et que d'autre part c'est plus jouissif quand c'est droit, élément en mettre en parallèle avec la maladie de La Peyronie décrite au dix-septième siècle et qui est une sclérose des corps caverneux, responsable d'une déviation de la verge en érection. J'en conviens j'ai un peu dévié au long de ce billet…


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mardi 24 octobre 2017

Le vent…

Certes vous connaissez toutes et tous la chanson de Brassens " Sur le pont des Arts" je vous en rappelle toutefois le début, un trou de mémoire est si vite arrivé, " Si, par hasard,/ Sur l'pont des Arts, /Tu crois's le vent, le vent fripon, /Prudenc', prends garde à ton jupon!" C'est incontestablement une merveilleuse façon de parler du vent. Cependant je viens de découvrir une autre bien belle façon d'évoquer le vent dans un roman, "Un certain vent délasse les femmes et caresse leurs seins jusqu'à l'indicible frémissement. On le connait sous le nom de Pelotin. Un autre, le Vent-Levis, tournoie autour de bourses viriles et en chasse la mollesse."
Peut-être devrais-je poursuivre la lecture de ce roman sur le pont des Arts ?


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vendredi 20 octobre 2017

Cilciller…

Il y a peu, dans un billet Une caresse…, j'évoquais une manière de caresser peu banale, cilciller. Ce mot m'a valu quelques remarques et notamment un charmant échange avec une Délicieuse Dame. J'ai donc le plaisir de vous offrir aujourd'hui une nouvelle citation issue du même roman et qui illustre à merveille ce verbe. " Elle lui caressait la poitrine avec ses cils. Elle picorait de la langue ses gouttes de sueur. Elle lui titillait les côtes et le ventre avec ses mamelons raidis. Et de la partie la plus chaude et la plus intime de son corps, se cabrant avec furie et retombant avec langueur, elle frappait avec grande patience le fer rouge d'Altan."
Puis-je simplement préciser que j'aurais remplacé la formule " se cabrant avec furie" par " se cambrant furieusement "


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jeudi 19 octobre 2017

Dans une ancienne bibliothèque

Vous serez au calme ici lui avait-on dit avant de le laisser s'installer dans cette ancienne bibliothèque. Comment n'aurait-il été séduit par les lieux, d'immenses rayonnages en bois jusqu'au plafond, une mezzanine chargée elle aussi de rayonnages faisant le tour de la pièce, des livres à pertes de vue, et ici et là, presque perdues entre les livres, des tables de travail, et dans un recoin, blottis, quelques fauteuils de cuir. Il avait donc pris ses habitudes pour ses lectures et prises de notes, toujours seul dans la vaste bibliothèque.
Mais un jour, il lui sembla entendre un bruit, comme un bruit. Il se redressa, tendit l'oreille, se leva, étrangement il réalisa qu'il essayait de bouger sans bruit, sans savoir pourquoi, il sourit se disant que c'était un instinct de guerrier, ou de chasseur qui se réveillait chez lui. Le bruit semblait venir du recoin aux fauteuils de cuir, il s'approcha. Une femme était assise là, furieusement belle. Elle ne l'avait pas entendu, habileté du chasseur ou intensité de la lecture. Elle portait une veste souple ouverte, avec une fleur ostensiblement accrochée à la boutonnière, ses longues jambes largement dévoilées par une jupe courte étaient croisées. Elle ne bougeait que pour tourner une page. Il la contemplait, immobile, captivé, troublé, submergé par le désir.
Puis soudain elle leva les yeux, sourit " N'est-ce pas un merveilleux endroit pour se rencontrer ?" Elle posa le livre " Ne serait-il pas plus jouissif de se lire l'un l'autre…"
Ils s'entrelirent avec passion, caresses du bout des mots, baisers à plein paragraphes, pages tournées pour se dévoiler, langues jouant de la syntaxe et de la peau, doigts glissant le long des pages, s'insinuant dans les replis les plus intimes, désirs brulants au-delà du lexique, envies créant leurs mots pour mieux se dire, se gémir, se susurrer, jouissance innomée.


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mercredi 18 octobre 2017

Encore un compliment

J'ai  publié à quelques occasions des textes au sujet de compliment, Un beau compliment, Un si beau compliment. Je vais encore une fois revenir sur un sujet captivant et vous offrir une somptueuse citation " il n'est gaillard dont la virilité ne se soir promptement dressée comme concombre en potager sous le regard lascif de cette colombe… Et quel concombre, mes aïeux !"
Qu'ajouter à cela ?


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mardi 17 octobre 2017

Très honoré·e !

A la suite de la publication de l'un de mes derniers billets, Très honorée, l'une de mes lectrices, tout aussi charmante qu'honorable, honorable signifiant digne d'être honoré·e, ce qui est tout à fait le cas de cette charmante personne délicieusement honorable, m'a signalé une erreur dans le texte, erreur rectifiée depuis lors. Dans la dernière phrase, baisé était au masculin.
Rien de bien important, pourriez-vous dire, pas de quoi en fouetter un chat, ni une chatte, fut-elle celle d'une charmante lectrice. Cependant ce lapsus calami révèle sans aucun doute une vraie question qu'il convient de traiter à fond. En effet dans le TLFi ce sens précis n'est mentionné que pour l'expression honorer une femme. Cette discrimination ne doit être acceptée et l'expression doit pouvoir être utilisée indifférent quel que soit le sexe. Un homme doit pouvoir déclarer à sa·son partenaire, j'ai été profondément honoré !


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lundi 16 octobre 2017

Une caresse…

Non, ce n'est pas un souvenir que je vous livre ce matin, mais une phrase lue avec bonheur tout à l'heure dans le RER.  "Les hétaïres « cilcillaient » les Coumans, comme l'on disait pour désigner certaine caresse du bout des cils papillonnant aux endroits les plus chauds du corps masculin."
Cette idée de caresse m'a laissé rêveur, et pire encore…


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dimanche 15 octobre 2017

Très honorée…

Lors d'un échange badin avec une dame, charmante manieuse de mots en tous sens, celle-ci eut une fort jolie réplique " Je suis fort honorée…" Je ne vais pas pour autant vous en dire plus sur nos échanges, mais je voudrais revenir sur cette réplique polysémique. Le sens habituel donné à cette phrase est celui que le TLFi définit comme "accorder une grâce, une faveur, une distinction qui procure de la considération, de l'estime", avec comme exemples, "honorer qqn de son attention, d'une charge, de sa confiance, de ses confidences, de sa protection, d'un titre." Rien de fascinant jusque-là me direz-vous, à juste titre.
Mais, toujours selon le TLFi ce mot a aussi quelque autre sens et notamment " Honorer une femme. Avoir des relations sexuelles avec elle." Vous conviendrez que lu ainsi la réplique de la charmante dame prend un tout autre sens et en termes plus crus pourrait se traduire ainsi "Je suis somptueusement baisé·e !"


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vendredi 13 octobre 2017

Le charme discret de la bourgeoisie

Est-il utile de préciser quelle est la provenance du titre de ce billet ? Il faut bien reconnaitre que lorsque l'on pose une telle question la réponse est contenue dans la question et, en l'occurrence, est positive. Donc pour celles et ceux qui ne le sauraient pas ce titre est le tire d'un film de Luis Buñuel sorti en salle il y a plus de quarante ans. Et je précise que je ne saurais que trop vous conseiller de le voir si vous ne l'avez pas déjà fait.
Mais je m'aperçois que, encore une fois, je digresse et m'éloigne de mon sujet. J'ai découvert une nouvelle citation qui illustre non pas le film, mais le titre pris au premier degré "Très beau d'ailleurs, boiseries anciennes du sol au plafond, tapisseries d'Aubusson, une scène de chasse avec quelques détails discrètement licencieux."
N'est-ce pas d'un érotisme délicieux, bien plus troublant et suggestif que certains placards pornographiques relevant plus de l'étude anatomique que de l'éveil du désir ?

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jeudi 12 octobre 2017

Slogan jouissif

Celles et ceux qui suivent de plus ou moins prés les actualités ou activités politico-syndicales ont déjà du noter que parfois les slogans ne brillent pas leur finesse d'esprit voire peuvent être sexistes, homophobes ou même pires.
J'ai donc été très agréablement surpris par un slogan prenant allègrement le contre-pied
"Macron, Macron ! On t'encule pas. La sodomie, c'est entre ami•es!"
N'est-ce pas jouissif ?


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mardi 10 octobre 2017

Lectures…

Il serait inconvenant de ma part de ne pas faire précéder ce billet d'un avertissement, ce texte ne contient ni textes et ni images susceptibles de choquer un public jeune ou non averti, pour être tout à fait précis il ne contient aucune allusion sexuelle, pornographique, érotique ou autre…
Je comprends que pour certain•es habitué•es la lecture puisse donc en être ardue, insupportable voire que vous ne puissiez le lire en entier. Ce qui ne serait nullement gênant puisque cela m'offre une transition avec le sujet de ce billet consacré aux livres que nous n'avons pas terminés. Je viens en effet de découvrir que France culture a publié le top 10 des livres qui nous sont tombés des mains. Pour celles et ceux qui n'auraient pas le courage de chercher je vous la donne dans l'ordre
"Ulysse", de James Joyce
"Les Bienveillantes", de Jonathan Littell
"À la Recherche du temps perdu", de Marcel Proust
"Le Seigneur des anneaux", de J. R. R. Tolkien
"Belle du Seigneur", d'Albert Cohen
"L'Homme sans qualités", de Robert Musil
"Le Rouge et le Noir", de Stendhal
"Madame Bovary", de Gustave Flaubert
"Cent ans de solitude", de Gabriel Garcia Marquez
"Voyage au bout de la nuit", de Louis-Ferdinand Céline
Encore une fois je crains de ne pas être dans la norme. J'en ai commencé neuf, le dixième n'étant même pas dans ma très longue liste des livres à lire, j'en ai fini sept, abandonné un et un autre est en phase de lecture par à-coups. Mais surtout cinq sont pour moi de superbes souvenirs de lecture. Et de plus je dois vous avouer que dans l'un des dix j'ai trouvé une inspiration pour l'un de mes billets, mais je ne vous indiquerai pas lequel, en effet ce texte ne contient ni textes et ni images susceptibles de choquer un public jeune ou non averti…



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lundi 9 octobre 2017

Commentaire d'images sans lien

L'idée de ce billet est venue de deux photos publiées sur le net par une charmante dame. Elles m'ont donné envie de les commenter et je pensais au départ mettre un lien en fin de billet vers ces images pour permettre à mes lectrices, lecteurs de les apprécier. Hélas, cette charmante dame, à qui je faisais part de ce projet, m'a rappelé que ces photos n'étaient pas publiées sur un compte public. Il ne me reste donc qu'à les commenter sans lien.
Ces photos représentent cette jeune et charmante dame vêtue uniquement de cordes, ce sont, vous l'avez compris, des photos d'une séance de bondage. Elle est de dos, ses chevilles sont liées l'une à l'autre, la corde tendue vers le haut du corps hors cadre. L'on voit cette corde simplement tendue entre les fesses de la belle mettant ainsi en valeur ses courbes, son cul délicieusement cambré.
Comment ne pas rêver à tout ce qu'elle ne nous révèle pas de cette séance, et qu'elle nous laisse ainsi imaginer…


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A propos de divers plaisirs

Avec un tel titre, je ne serais pas étonné que certain•es s'attendent à texte détaillant avec moult détails les plaisirs plus ou moins avouables auxquels je m'adonne. Hélas ce n'est pas le sujet de ce billet qui est plus prosaïquement inspiré, encore une fois, d'une citation. "Il m'apprenait aussi à gouter les plaisirs de la vie. Il fallait aborder un déjeuner ou un diner avec respect, comme on aborde une belle femme."
La seule question en suspens est donc de savoir si le déjeuner ou diner c'est avant ou après.


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dimanche 8 octobre 2017

Cuir et dentelle

C'est par ces mots qu'elle lui avait indiqué quelle serait sa tenue, je serai vêtue de noir, cuir et dentelles, avait-elle dit.
Il la voyait déjà, une veste de cuir, une jupe courte et légère, ses longues jambes gainées de noir, des escarpins. Et, déjà une furieuse envie d'elle, comme chaque fois, envie de la serrer contre lui, de sentir ses lèvres sous les siennes, envie de leurs langues se caressant. Une envie qui vous vrille les tripes, envie de leurs deux bouches liées l'une à l'autre, de leurs regards se cherchant, se trouvant, se racontant leurs désirs. Et envie de poser ses mains sur elle, de caresser ses cuisses, de remonter en troussant sa jupe, de coller son bassin contre le sien. Envie quelle sente son désir collé à elle. Une envie qui vous coupe le souffle. Envie de sentir sa peau nue après avoir effleuré ses bas, envie de plaquer ses mains sur ses fesses pour la coller plus encore à lui. Envie d'écarter, d'arracher sa culotte pour s'enfoncer en elle, envie de la prendre ainsi furieusement.
Extrait du Cycle des Désirs


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vendredi 6 octobre 2017

Chaude, suite…

Dans mes billets précédents Chaude et Chaude, encore une fois... j'évoquais des expressions, plus ou moins heureuses, visant à indiquer qu'une femme a, pour parler crument, le feu au cul. Pour varier un peu les plaisirs, je vous offre aujourd'hui une citation sur le même sujet mais vu de l'autre côté. En effet, cette fois-ci c'est une femme qui déclare "   J'ai besoin de m'assoir sue quelque chose de frais, ou de trouver un homme tout de suite…"
La formule n'est-elle pas merveilleusement rafraichissante ?



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jeudi 5 octobre 2017

Un beau compliment

Comment tourner un joli compliment ? Si la question est ancienne et bien connue, la réponse n'est pas aisée. Par contre, à défaut de réponse l'on peut trouver de bien nombreux commentaires, en principe assez acerbes, par exemple cette remarque d'un grand écrivain "Comparer les femmes aux fleurs est une autre éternité ou une autre banalité."
Cependant il ne faut céder au désespoir, il est toujours possible de trouver de somptueux compliments et je vous offre celui-ci découvert lors d'une lecture "Sa sensibilité érotique est d'une acuité sans pareille."




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mercredi 4 octobre 2017

Là, contre le mur…

Envie de vous, comment n'aurais-je pas envie de vous ? Vous êtes ravissante, vos tenues sont affriolantes et vous en jouez à merveille. J'ai envie de vous, furieusement envie de vous. Je vous imagine là, debout, face au mur. Vous me regardez par-dessus votre épaule, et vous souriez votre désir. Je suis tout près de vous. Mes lèvres sont sur votre nuque, effleurent la douceur de votre peau, vous susurrent mes mots, vous chuchotent mes désirs. Mes mains caressent vos seins. Je m'approche plus encore de vous, collé à vos fesses cambrées. Sensation délicieuse de la douceur de vos fesses, sensation délicieuse de mon sexe raidi de désir contre vos fesses. Embrasser votre cou, le mordiller et vous murmurer mon envie, envie de glisser lentement, doucement, profondément entre vos fesses, là debout, contre ce mur. 
Envie de vous, envie de vous sodomiser ainsi. Envie de sentir votre corps frémir, de vous sentir vous cambrer, vous offrir plus encore. Envie de vos gémissements, soupirs, râles. Envie de vous.

Extrait du Cycle des Désirs


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mardi 3 octobre 2017

Un bonheur assuré ?

Je pourrais évoquer dans ce billet le bonheur de la lecture d'une manière générale, et peut-être le ferais-je un jour où je serai inspiré. Aujourd'hui, je voudrais simplement évoquer une citation découverte encore une fois au hasard des mots. Pour être précis, il s'agit d'un proverbe cité dans un roman chinois "A grande bouche, bonheur certain !"
Dois-je vous préciser que ce proverbe m'a fait soudainement pensé à un film sorti en salles lorsque j'étais encore collégien et qui nous avait laissé rêveur avec son seul titre Deep Throat.


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lundi 2 octobre 2017

Chaude, encore une fois...

Dans un récent billet Chaude ? j'évoquais certaines expressions, plus ou moins heureuses, visant à indiquer qu'une femme a, pour parler crument, le feu au cul. Une remarque faite par une charmante lectrice m'a amené à rechercher dans les nombreuses citations que j'ai accumulées. En effet pour celles•ceux qui ne le sauraient pas, je gère un stock d'avance de citations. J'ai donc trouvé une jolie citation "On dit qu'elle a une grande chaleur au creux des cuisses, et qu'il faudrait quantité de sceaux d'eau pour l'éteindre. Elle cherche des hommes comme d'autres des raisons d'exister. "
N'est-ce pas là une étrange et délicieuse quête ?


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dimanche 1 octobre 2017

Une image furieusement….

L'image évoquée dans ce billet n'est pas une photo, la photo d'une belle dame mais un dessin publié par une Charmante et délicieuse amie. Ce dessin représente une femme presque nue portant des bas, et un gant à la main droite la seule que l'on voit. Elle est  couchée sur le dos, le bassin a pivoté pour dévoiler son cul. Un homme est assis sur elle, presque nu lui aussi, vêtu de chaussettes et de fixe-chaussettes. La femme tient dans sa main droite un objet de forme phallique proche de ses fesses. L'homme s'appuie sur sa main gauche légèrement penché en avant, sa main droite brandit fièrement son sexe dressé.
L'instant saisi par ce dessin est magique. L'on ne peut qu'imaginer une suite, la main de la femme terminant son geste et se sodomisant pendant que l'homme continue de se masturber. La scène pouvant se terminer avec la femme et l'homme jouissant l'un et l'autre, l'un contre l'autre, et l'un et l'autre se masturbant.
Une image furieusement troublante…



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