- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


jeudi 16 août 2018

Lors d'une soirée

J'ai commis, je dois le reconnaître, quelques sonnets impudiques dont la valeur poétique peut être discutée. Chacun d'eux a été dédié à une personne, et à chaque fois je ne l'ai publié qu'après accord de la dédicataire à la fois sur le sonnet lui-même et sur la dédicace qui l'accompagne. Cela est pour moi une évidence, mais il est des évidences utiles à rappeler. D'autre part, certains de ces sonnets, et je ne vous dirai pas lesquels, ont été dédiés à des personnes que je n'avais jamais rencontrées dans la vie réelle.
Quel rapport avec une soirée, à moins que je n'aie prévu une soirée de lecture de soirées impudiques, pourriez-vous me dire. Soyez sans crainte, si je digresse parfois, ces précisions introductives sont utiles à la suite de mon propos.
Lors d'une soirée, soirée n'ayant rien à voir avec mes sonnets, j'ai eu le plaisir de rencontrer quelques personnes présentes sur les réseaux sociaux. Ce fut une agréable soirée. Et lors de cette soirée, nous y voilà, je bavardais avec une charmante jeune dame pleine de qualités lorsqu'elle me rappela que je lui avais dédié un sonnet, impudique bien sûr et tout autant sodomite. Je dois vous avouer que lorsqu'elle se retourna pour aller chercher un verre, je la contemplai différemment et, je dois l'avouer, diablement lubriquement…

Licence Creative Commons

Écriture autocontrainte, soixante-dix-septième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…