- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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Un semblant d'ordre...



" Ton blog est un peu fouillis " m'a-t-elle dit. Donc à défaut d'ordonner le fouillis, je vous livre quelques éléments pour tenter de vous retrouver dans ce blog.

Les textes sont classés par ordre chronologique inversé. Les textes publiés sur mon ancien blog, antérieurement au 4 octobre 2011 ont été repris à leur date de première publication. Par contre, en raison d'une contrainte technique les dates des commentaires sont les dates de reprise, aussi la date et l'heure de la publication initiale ont été rajoutées en début de commentaire.



Il est possible de laisser des commentaires sur tous les textes, il est même conseillé de le faire. Les commentaires sont, bien sur, modérés, et il est souhaitable qu'ils soient signés, d'une manière ou d'une autre.


Certains textes sont en plusieurs parties, ils sont numérotés.
Si la série est finie, la numérotation indique le numéro dans la série et le nombre total de textes dans la série, du type n/N.
Si la série n'est pas finie, ce qui est fréquent, la numérotation n'indique que le numéro dans la série entre parenthèses, du type (n).
Enfin dans les textes des séries les plus récentes figurent un lien vers les textes antérieur et postérieur.


Bonne lecture donc,
Hypocrite lectrice, - ma semblable, - ma sœur!
Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère!

2 commentaires:

  1. Réponses
    1. Charles Baudelaire ouvre les Fleurs du mal par un texte intitulé Au lecteur, texte qui se termine par
      "Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
      Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
      Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
      Dans la ménagerie infâme de nos vices,
      Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
      Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
      Il ferait volontiers de la terre un débris
      Et dans un bâillement avalerait le monde ;
      C’est l’Ennui ! – l’œil chargé d’un pleur involontaire,
      Il rêve d’échafauds en fumant son houka.
      Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
      – Hypocrite lecteur, – mon semblable, – mon frère !
      Spleen et idéal "

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