tag:blogger.com,1999:blog-77503798644103503052024-03-21T07:17:08.072+01:00Un joueur parisien entre rêves et réalité...Unknownnoreply@blogger.comBlogger1952125truetag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-13312180595625507832024-01-13T22:31:00.007+01:002024-01-13T22:31:53.711+01:00Voeux 2024<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial;">Ils s'embrassent au mois de janvier, car une nouvelle année
commence, chantait Renaud, à l'époque où il chantait. Et je suis conscient que
j'évoque là un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Une
nouvelle année commence donc sur le calendrier grégorien et cela n’a guère d’importance.
Le moment important n’est-il pas plutôt au fond le moment où la lumière remporte
son combat sur les ténèbres, ce moment où la durée de la nuit diminue peu à peu ?
Los jorns alongan : per Nadal d'un pè de gal, per l'an nòu d'un pè de buòu. Pour
celles et ceux qui n’auraient pas compris, les jours s'allongent, pour Noël
d'un pas de coq, pour l'an nouveau d'un pas de bœuf.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial;">Je ne vais pas moins me conformer aux usages et vous
souhaitez une merveilleuse année 2024 jouissive à souhait en vous précisant
toutefois que je n’assure pas le service après-vente de mes vœux.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial;">Mais, je ne prendrai aucune résolution bonne ou mauvaise
pour cette année, même pas celle d’écrire plus souvent que lors de l’année
écoulée.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial;">Et, je conclurai en toute logique par la formule rituelle, a
l’an que ven , siam pas mai, que siam pas mens !</span></p>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-14589070537755452762023-09-03T10:47:00.005+02:002023-09-03T10:47:37.561+02:00 Un soir de fin d’été<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial;"><span style="font-size: small;">Un soir d’été, c’était un soir d’été, pour être plus précis, un de ces soirs de fin d’été où l’été semble hésiter à s’estomper et laisser place à l’automne, un soir où les nuages ont laissé place à un ciel dégagé et où l’on espère déjà une belle journée pour le lendemain. <br />Une de ces soirées où l’on est confortablement installé dans son vieux fauteuil en compagnie de ses chats et où après avoir regardé le ciel s’obscurcir l’on se plonge dans la lecture d’un vieux et épais compagnon. <br />Mais après quelques pages l’on ne résiste guère à la curiosité et l’on jette un coup d’œil, un seul, un bref coup d’œil, s’est-on juré, au réseau social dont l’oiseau bleu s’enfuit. Presque surprenant, un message reçu, un clic et là, une somptueuse surprise. Une photo d’une belle avec laquelle j’échangeais. La belle cuisse largement ouverte nue, dévoilant son sexe nu, ouvert. <br />Il n’en fallut guère plus pour que mon imagination ne s’enflamme, qu’elle s’envole. La savoir ainsi, jouant avec Lui, excitée, troublée, trempée. Et Lui jouant délicieusement d’Elle, lui demandant d’envoyer une telle photo. Moment merveilleux, rêver d’Elle, offerte aux désirs de Lui et savoir qu’Il le sait, qu’Il en joue, qu’Elle s’empourpre. Moment merveilleux où mon sexe durcit de désir à cette idée. Moment merveilleux où j’écris ces mots, d’une main, jouant à la fois de mes mots et de mon envie furieuse qu’Elle suscite ainsi.<br />Et c’est ainsi que vint ce premier jet.</span></span></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-30275005599296911062023-08-15T16:51:00.001+02:002023-08-15T16:52:08.073+02:00vieillir, oh, oh vieillir<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"> Incontestablement les années passent et je vieillis. « Mourir, cela n’est rien Mourir, la belle affaire ! Mais vieillir, oh, oh vieillir » chantait Jacques Brel, lointain écho à Chateaubriand écrivant « La vieillesse est un naufrage, les vieux sont des épaves. » Je pourrai donc écrire un billet sur les effets de la vieillesse, sur les trahisons du corps, au risque de sembler tristement parodier par moments le roman de Romain Gary « Au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable » <br />Mais, j’ai choisi de mettre l’accent aujourd’hui sur un aspect positif, un des rares aspects positifs du vieillissement, l’on est de plus en plus entouré de personnes jeunes, enfin, plus jeunes que soi. À tel point qu’il y a quelque temps, un stagiaire m’a annoncé tout heureux que sa mère me connaissait. Devant mon air perplexe et quelque peu incrédule, il m’a donné quelques précisions et a semblé ravi lorsque je lui ai enfin répondu que je me souvenais en effet d’Isabelle.<br />Je n’ai toutefois pas jugé utile de lui indiquer que le souvenir que j’ai d’elle est une soirée lors de laquelle je l’ai allègrement sodomisée pendant qu’elle léchait une inconnue.</span></span><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-6109941993672247762022-12-21T23:13:00.003+01:002022-12-21T23:13:16.871+01:00 Avent et avant<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Peut-être l’ai-je déjà dit, peut-être suis-je en train de radoter, je suis né dans une famille très traditionaliste, très catholique. Avant, l’avent avait donc du sens pour moi. Je ne vous narrerais pas pour autant dans quelles circonstances et à quel rythme j’ai pris quelques distances avec la religion ! L’avent est donc devenu comme pour beaucoup une simple période de calendriers, si les premiers étaient emplis de chocolats et autres gourmandises, d’autres types de calendrier sont apparus depuis dont les contenus vont de la bière aux pâtés végétariens en passant par les sextoys et quelques autres facéties. <br />Nous voilà arrivés à la question sous-entendue dans le titre, avant l’avent était-il mieux ? Il le fut sans aucun doute à l’époque où je n’avais pas encore perdu toutes mes illusions. Mais la vie est ainsi, parfois cruelle. <br />Mais surtout, avant l’avent était mieux, parce qu’avant j’étais plus jeune et mon corps ne me trahissait pas avec cette intensité. Je ne vous détaillerai pas ici toutes les trahisons dont une carcasse vieillissante est capable. Certes l’on peut tricher et ruser, une charmante lectrice avec laquelle j’évoquais les difficultés rencontrées avec mes genoux, m’a suggéré d’éviter tout simplement la levrette. Les défaillances cependant sont toujours là et se succèdent avec une belle allégresse.<br />Ce billet est moins léger que mes écrits habituels, peut-être est-ce parce qu’il est écrit au creux de la nuit la plus longue de l’année. Mais le solstice d’hiver, ce 21 décembre à 21 heures, 48 minutes et 10 secondes, est aussi le moment où le jour gagne face à la nuit. Je vais donc faire preuve d’optimisme et, abandonnant les projets de résolution de début d’année qui ne sont jamais suivis d’effet, me contenter de vous indiquer que j'ai des projets, ou des envies d’écriture. J’espère que seul mon corps continuera à me trahir et que j'arriverai à mener à bien ces projets. <br /> </span></span></p>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-46832713988336276352022-12-20T21:32:00.000+01:002022-12-20T21:32:02.181+01:00 Promenons-nous dans les bois<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">J’étais pour quelques jours dans le sud-ouest. J’avais retrouvé Céline, une amie, complice . C’était une belle journée de début d’été et nous nous étions donné rendez-vous dans un petit restaurant pour un déjeuner qui fut délicieux agrémenté d’un vin frais et de jeux de séduction.<br />Nous décidâmes ensuite d’une promenade à la campagne, nous avons un sentier qui traversait un petit bois. De loin, nous aperçûmes une voiture garée dans le chemin qui longeait ce bois un peu en contre bas.<br />C’était pour être tout à fait précis une 504. Une femme était allongée sur le capot, jupe troussée haut, cuisses ouvertes, si l’on ne pouvait distinguer son visage en partie caché par ses longs cheveux, ses seins lourds étaient offerts à la vue.<br /> <br />L’on voyait la tête de l’homme entre les cuisses et vu les gémissements, il semblait manier fort bien la langue. Puis il s’est relevé, son pantalon sur les chevilles, a saisi sa compagne par les hanches pour la pénétrer.<br />Les gémissements ont laissé place à des cris plus ou moins contenus. Céline s’est collée à moi et m’a susurré à l’oreille « baise-moi »<br />Elle était aussi troublée et excitée que moi, je l’ai prise debout, elle se tenait à un arbre. Ce fut intense. Je ne sais s’ils nous ont vus, mais il est probable qu’ils aient entendu ses cris, qui répondaient en écho à ceux de la belle sur le capot.<br /></span></span></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-56908566389680378022022-10-28T21:33:00.003+02:002022-10-28T21:33:15.520+02:00 De retour ?<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">J’ai été absent longtemps, j’espère que certain·e·s penseront trop longtemps. J’aurais dû vous dire que je m’absentais, mais je ne l’ai pas fait et j’en suis navré. Parfois, la vie nous happe, nous met la tête sous l’eau. Mais, si tant est que cela puisse intéresser quelqu’un·e, rien de bien grave, juste un gros coup de mou, de moins bien. Et je suis de retour peut-être pour de bon cette fois. <br />Pour tenter de me faire pardonner cette longue absence, je vous offre un billet, autour d’une citation, comme j’aime. Cette citation est tirée d’un ouvrage d’une personne que j’admire : "Mais quand je vois combien peu de gens lisent l’<i>Iliade</i> d’Homère, je prends plus gaiement mon parti d’être peu lu." Ces quelques mots me donneront peut-être l’envie d’écrire à nouveau. L’avenir, qui est un farceur, nous le dira…</span></span><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-32845860472797608562022-04-24T23:06:00.003+02:002022-04-25T09:15:30.261+02:00 Se faire pincer ?<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Il avait déjeuné avec Elle, sa Maîtresse, celle aux pieds de laquelle il jouissait de mille tourments. Et ce fut comme toujours un moment délicieux durant lequel elle avait joué de lui, de ses envies, suscitant mille désirs. Juste avant qu'ils ne repartent vers leurs obligations professionnelles respectives, elle lui avait donné à la fois un rendez-vous pour le week-end à venir et un cadeau, des pinces avec lesquelles elle jouerait ce jour-là.<br />Il partit rêvant déjà de ces plaisirs à venir pour rejoindre sa cliente, faire avec elle un point rapide et l'accompagner ensuite au rendez-vous. À l'entrée du bâtiment, après avoir passé la sacoche au détecteur de métaux, l'agent de sécurité lui demanda ce qu'étaient ces pinces. Sa cliente se retourna alors vers lui, son avocat, demandant " Y aurait-il un problème Maître ?" L'agent de sécurité lui sourit alors, lui fit un clin d'œil et le laissa passer !</span></span><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-73810162698483072912022-04-20T21:27:00.004+02:002022-04-20T21:27:29.886+02:00Un bureau de poste<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Une ballade sous le soleil, le plaisir de marcher, de flâner, de déambuler, sans but ou presque, et soudainement se rappeler que j'avais quelque chose à faire, rien de grandiose, juste un courrier à poster et bien sûr pas de timbre. Après une rapide recherche sur mon Smartphone je me suis dirigé vers le bureau de poste le plus proche, et en entrant quelle ne fut pas ma surprise de ne voir aucun automate pour affranchir mon courrier. Je restais un instant immobile interloqué avant d'être interpellé par une voix féminine me demandant ce que je voulais. Et j'appris ainsi que dans ce bureau c'était cette jeune et charmante femme qui était chargée des affranchissements " comment avant" précisa-t-elle.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Étant le seul usager, nous passâmes quelques instants à bavarde, et le regard souriant et pétillant elle m'invita à revenir la prochaine fois, ce que je lui promis. Je me serais presque demandé si je n'avais pas l'immense bonheur de me faire ainsi draguer pas quelque peu. Mais pendant cet échange, je dois avouer que je ne perdais pas de vue son smartphone posé devant elle et la vidéo qu'elle regardait d'une jeune femme jouant de son merveilleux et somptueux décolleté et qui lui ressemblait étrangement.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Peut-être ai-je un courrier urgent à poster très vite ?</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-56800057570568996572022-03-15T22:19:00.003+01:002022-03-20T11:40:26.064+01:00 Oulimots Février 2022<p style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 3 février 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, cinquième semaine</span></span></b><br /><i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Orgueil, gourmandise, paresse, luxure, avarice, colère, envie, eau, fleur</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Est-ce par orgueil que j'ai un jour de 2018 accepté ce défi, est-ce par gourmandise que j'ai continué par gourmandise ce jeu, je ne sais. Mais peut-être est-ce un effet de ma profonde paresse de me contenter d'égrener ces fichus péchés tout au long des phrases. À moins que ce ne soit ma luxure extrême qui m'incite à produire ces textes en espérant ainsi séduire quelques belles. Par contre n'évoquez pas mon avarice, cela me mettrait dans une colère noire. Je ne suis pas avare de moyens lorsque j'écris, même si le résultat est rarement à la hauteur, par contre, je le confesse volontiers, j'ai quelque peu, ou furieusement envie de quelques personnes qui me lisent.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Vous comprendrez qu'après un tel effort, je vous abandonne aussitôt pour aller siroter une petite eau-de-vie de derrière les fagots, en attendant, en vain certes, le bouquet de fleurs du vainqueur.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 10 février 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, sixième semaine</span></span></b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><i><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Parole, derrière, monde, traiter, murmure, information, besoin, nuit, guider</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Une parole, une seule, pour lui ordonner de dévoiler son cul non pas derrière la maison mais ici devant alors que du monde pourrait passer. Elle aime se faire traiter ainsi. Elle en jouit et, sans un murmure, trousse haut sa jupe, se cambre, exhibe son cul pendant qu'il lui bande les yeux. Sans avoir plus d'information, elle sent des mains posées sur son cul offert, tout ce qu'elle sait c'est ce besoin impérieux de se faire baiser, enculer, d'être son objet de désir et d'en jouir intensément. La nuit sera longue de plaisirs et d'orgasmes, et il sera là pour la guider.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 17 février 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, septième semaine</span></span></b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><i><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Ange, ennemi, pensées, mots, fleurs, porte, changer, demoiselle, chimique</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Beau comme un ange déchu, ennemi de la pudeur, l'esprit empli de sulfureuses pensées, il alignait des mots intenses, fleurs vénéneuses, qu'il porte, pour changer des bouquets de roses, à quelque belle demoiselle son vit dressé et déjà couvert d'un latex peut-être chimique.</span></span><br /><b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 24 février 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, huitième semaine</span></span></b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><i><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Gel, rajeunir, projecteur, sauter, quatre, émergence, dérapage, tristesse, lame</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Tout est prévu, espère-t-il, les préservatifs, le gel lubrifiant. Cela va le rajeunir de se retrouver sous la lumière d'un projecteur pour sauter cette belle qui l'attend déjà à quatre pattes. Ce n'est pas pour autant l'émergence d'une star du porno, simplement un glissement du désir, sans dérapage, une envie sans le moindre regret, sans la moindre tristesse qui l'emporte telle une lame de fond.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-65935736498879708012022-03-14T21:14:00.002+01:002022-03-15T21:18:44.840+01:00 Joueur Parisien, mode d'emploi<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Pour éviter toute confusion, il me semble important de clarifier ce que vise le terme "Joueur Parisien" ici. Le Joueur Parisien est d'une part une personne physique, moi, qui agite fébrilement ses doigts sur un clavier pour tenter d'obtenir un texte présentable et d'autre part une entité abstraite, blog et présence sur les réseaux sociaux, entité abstraite qualifiable peut-être de personne morale. Je ne voudrais cependant pas lancer ici un débat juridico sémantique sur cette expression "personne morale" et sur l'existence même de la personnalité morale, "je n’ai jamais déjeuné avec une personne morale" aurait déclaré le doyen Léon Duguit, mais je ne ferai aucun commentaire sur la moralité, immoralité, amoralité des personnes avec qui j'ai pu déjeuner.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Vous l'avez donc compris, ce mode d'emploi vise donc le blog et la présence sur les réseaux sociaux.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Le blog, crée très précisément le 30 janvier 2010, regroupe les textes depuis cette date, 1.942 textes de longueur et intérêt pour le moins variable. Et, vous l'avez remarqué, le rythme de publication est des plus variables, de 12 publications en 2012 à 549 en 2018.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">La présence sur les réseaux sociaux est nettement plus récente, à l'origine sur Facebook puis Twitter et ne servait qu'à mettre le lien vers les billets du blog au rythme des publications. Aujourd'hui, sur Facebook, Twitter et Instagram, chaque publication sur le blog est mentionnée avec une accroche, début du texte et lien vers le billet sur le blog.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">De plus sur Twitter, d'autres publications existent.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Tous les matins est publié un bonjour, toujours de même type, se terminant par le lien vers le blog, l'on ne sait jamais, cela pourrait amener une nouvelle vue sur le blog.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Des #MNDQ, micronouvelles de cul, textes courts, 280 caractères au maximum, sont publiées à un rythme variable.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Des participations au jeu des Micronouvelles sont aussi publiées, presque quotidiennement pour l'instant, ainsi que toutes les semaines ou presque une participation dans le cadre des Oulimots.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Sur Facebook et Instagram quelques #MNDQ sont publiées aussi.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Et enfin les #MNDQ et les Oulimots sont présents sur le blog à une fréquence approximativement mensuelle.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Et, si cela manque de clarté, vous pouvez toujours poser des questions.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-78353894820448270242022-03-04T11:08:00.009+01:002022-03-04T11:08:39.658+01:00 Écrire sans stéréotype<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Si vous me suivez depuis quelque temps, de manière plus ou moins régulière, vous devez savoir que je m'interroge régulièrement sur l'écriture, sur mon écriture, sur la pertinence et l'intérêt de mon écriture. Mais aujourd'hui la question que je me pose est quelque peu autre. Peut-on écrire sans stéréotype ? Peut-on écrire des textes érotiques sans stéréotype ? Pour rappel, le stéréotype est défini par le CNRTL comme une association stable d'éléments, groupe de mots formant une unité devenue indécomposable, réemployée après avoir perdu toute expressivité et avec une fréquence anormale.<br />Pour illustrer cette question, peut-on écrire un texte érotique sans que le protagoniste n'ait une vigoureuse érection, sans que le décolleté de la dame soit vertigineux, sans qu'elle soit furieusement bisexuelle ?<br />Comment écrite une nouvelle qui ressemble à la vraie vie où les choses ne sont pas idéales, des histoires de cul qui puent la transpiration et les fluides corporels, j'espère que vous appréciez la formule. Une nouvelle où lorsque l'on enfonce le doigt dans le cul, il ne sort pas toujours propre, où lorsque l'on veut baiser debout on chope un mal de dos, où l'on galère parfois à enfiler une capote, où l'on s'étouffe avec un poil en suçant ou léchant, voire où l'on coince le prépuce dans le dentier…<br />Sans basculer du stéréotype glorieux au stéréotype catastrophiste, comment trouver un équilibre et être plus près de la vraie vie ? </span></span><br /></p><p><br /><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com6tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-4001791138893385732022-02-01T21:27:00.001+01:002022-03-20T11:39:52.647+01:00Oulimots Janvier 2022<p style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 6 janvier 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, première semaine</span></span></b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><i><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: bonheur, sept, vie, ici, dehors, minuit, caillou, esprit, bouger</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Vous dirais-je le bonheur à me retrouver en ce début d'année à tenter de répondre à cette nouvelle contrainte quelque sept ans après mon premier texte ainsi contraint. Non j'exagère, ce n'est pas si vieux mais je n'avais rien trouvé d'autre sauf à vous aligner les sept péchés capitaux, orgueil, avarice, luxure, envie, gourmandise, colère, paresse. Mais, me direz-vous à juste titre, à vouloir aligner sept péchés j'aurais pu au moins créer une liste de sept péchés capiteux, leur redonner une nouvelle vie hic et nunc, ici et maintenant. En dehors de cela je n'ai aucune autre inspiration et il est tard, déjà minuit, il est temps que j'envoie mon billet Je pourrais encore meubler avec la liste des mots se terminant en ou et dont le pluriel est en x, bijou, caillou, chou, genou, hibou, joujou, pou, liste de sept mots avez-vous remarqué, mais hélas un petit huitième a fait son apparition, ripou. Tout cela, vous en conviendrez manque d'esprit mais il est temps pour moi de bouger et d'envoyer cela.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mais promis, je ferai mieux la prochaine fois et fournirai bientôt une liste des sept péchés capiteux !</span></span><br /><b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 13 janvier 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, deuxième semaine</span></span></b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><i><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Rose, cicatrice, appel, champion, désarmer, aspect, sabre, casser, roi</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Avez-vous connu la revue Les feuillets roses. L'effeuillée rose, une revue qui, faut-il le préciser, n'a aucun rapport avec la bibliothèque de même couleur ? L'arrêt de sa publication a laissé une cicatrice indélébile dans la littérature érotique. Ne devrions-nous lancer un appel pour chercher un héros, un champion capable de désarmer toutes les oppositions afin de faire revivre cette revue sous le même aspect, un repreneur tranchant comme un sabre, prêt à tout casser, en quelque sorte un roi !</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 20 janvier 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, troisième semaine</span></span></b><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><i><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Sensation, rugueux, festivités, médical, jeu, appeler, dehors, exil, fouler</span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Les yeux bandés, tous les sens concentrés sur cette sensation, un objet rugueux qui effleure ses fesses nues, un claquement sec succède bien vite à caresse marquant le début des festivités provoquant murmures approbateurs parmi les personnes assistant au spectacle. Bientôt le matériel médical entrera en jeu aussi. Puis quelques mots vont appeler celles et ceux qui le souhaitent à jouer de son corps offert et abandonné. Mais aucune inquiétude n'existe dans son esprit, si d'aucuns ne respectaient pas les règles ils seraient aussitôt jeter dehors en exil. Alors que pendant ce temps, des escarpins pourront fouler son corps humilié jusqu'à la plus extrême jouissance.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><b><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi 27 janvier 2022</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Écriture contrainte, cinquième année, quatrième semaine</span></span></b><br /><i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Contraintes: Faux, dernier, ouragan, marcher, promesse, fleur, embrasser, leçon, toujours </span></span></i><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Il serait faux de penser que ce sera le dernier cet ouragan qui pour l'instant se contente d'avancer, de marcher vers, promesse de fureur. Ceci n'est nullement une annonce météo, mais un ressenti à son approche, fleur sulfureuse qui dans quelques instants va se coller à moi pour m'embrasser, ensuite ce sera un déchaînement orgasmique, un festival d'imagination lubrique, elle pourrait donner des leçons au rédacteur du Kamasoutra, elle me noiera comme toujours dans un flot de désirs, d'envies, de folies.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-17472571178142846212022-01-23T22:34:00.003+01:002022-01-23T22:34:32.250+01:00 #7PechesCapitaux<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Sept textes pour sept péchés capitaux, suite à une initiative invitant à produire sept photos pour illustrer les sept péchés capitaux, n'ayant nul talent pour la photo j'ai donc écrit sept textes regroupés ici.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Lundi Avarice </span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Aurore était une femme qui avait beaucoup de charme, un charme tel que l'on savait que l'on lui répondrait positivement avant même qu'elle ait formulé sa question, une femme qui assumait sa sexualité et la vivait avec allégresse. </span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mais il faut vous dire la vérité, sous son allure enjouée, elle cachait un noir secret, elle était d'une avarice extrême, elle n'aurait jamais partagé, prêté le moindre jouet, godemiché, vibromasseur, plug ou autre et pourtant elle possédait une superbe collection.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mardi Colère</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Colas sortit du métro d'un pas rapide et décidé vers un rendez-vous avec une belle inconnue avec laquelle il échangeait depuis des semaines et enfin le grand jour était arrivé. Elle l'attendait pour boire un verre et bien plus sans aucun doute</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Pour l'appeler il attrapa son smartphone, il le vit, il rougit, il pâlit à sa vue ; la batterie était déchargée. Le sourire disparut aussitôt de son visage, il entre dans une colère noire, tapa du pied, cria, hurla, tempêta en vain, il était fou de rage contre lui-même.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mercredi Envie</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Enguerrand regardait cette brune non loin de lui, des rondeurs laissant présager de somptueux délices et que dévoilait un décolleté vertigineux, un regard pétillant ses jambes croisées haut offrant à ses regards le blanc de sa peau au-delà des bas.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Encore une fois, il convoitait la femme de son prochain, ou du moins sa compagne, mais c'était plus fort que lui, il ne pouvait contrôler cette envie, cette attirance permanente vers les femmes accompagnées. C'est pour cela qu'il était ce soir dans un club libertin.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jeudi Gourmandise</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Godefroy avait un livre de chevet, le con d'Irène, cela résumait à merveille sa passion, son obsession, il aimait plonger entre les cuisses d'une femme et la déguster, la dévorer longuement, intensément. Il avait ainsi acquis un certain talent.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Lors de soirées, il n'émergeait de l'entrecuisse d'une belle que pour s'enfouir sous la première jupe disponible. C'est ainsi que, sans même relever les yeux, il plongea sous une robe de cuir et découvrit une nouvelle friandise en dégustant la plus belle travestie de la soirée.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Vendredi Luxure</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Ludivine au visage angélique avait une obsession, la recherche obsessionnelle du plaisir sexuel, sous toutes ses formes, et elle avait une imagination débordante, quel que soit le nombre, le genre de ses partenaires.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Un jour l'on essaya de la convertir à d'autres extases, en lui faisant découvrir le côté jouissif de la musique. Et depuis, elle ne suce, ne se fait enculer, ne jouit qu'en écoutant Carmina Burana. Et ses voisins se plaignent toujours du bruit !</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Samedi Orgueil</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Oreste était un bel homme qui avait un succès fou avec les femmes, enfin avec certaines femmes, et certains hommes aussi. Il avait cependant une qualité dont il était très fier, à coté de lui Rocco passait pour un petit garçon.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Un jour un homme quelconque s'approcha de lui, et le fit tout d'abord exploser de rire, puis pleurer amèrement. Il finit par avouer que dans un premier temps cet homme lui avait dit que la sienne était plus grosse, puis il lui montra, et son orgueil en prit en coup.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Dimanche Paresse</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Patricia était une brune fascinante, un regard pétillant, un sourire ravageur, de longues jambes, une somptueuse poitrine que dévoilaient ses décolletés vertigineux, un cul d'enfer, personne n'aurait dû pouvoir lui résister.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mais, elle était d'une paresse infinie, traînait au lit, trouvait épuisant de se préparer pour sortir, et finalement était seule dans son grand lit. Heureusement pour elle, des applications existent, elle peut séduire, et baiser, sans avoir à faire l'effort de quitter son lit.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-8954176153864324092022-01-21T19:24:00.008+01:002022-01-21T19:24:59.664+01:00 J'ai rêvé de vous<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Hier soir nous avons échangé des textes que nous avions écrits tous deux, le mien traitait de jeux de domination. Vous l'avez apprécié, le trouvant chaud. Assez naturellement nous avons évoqué nos pratiques, envies et le dialogue fut des plus troublants. Malgré l'intensité de nos échanges, nous nous souhaitâmes une douce nuit et de jolis rêves.<br />Je dois vous avouer aujourd'hui que mes rêves furent des plus délicieux puisque vous étiez le sujet de mes rêves. J'ai rêvé que je vous donnais une fessée, une fessée des plus classiques. Je vous couchais en travers de mes genoux. Vous étiez délicieusement cambrée, je troussai votre jupe découvrant ces dentelles tendues sur votre cul. Je les fis glisser le long de vos cuisses, vos jambes, sur vos chevilles, offrant à mes mains la douceur de votre cul que j'effleurais tout d'abord avant de commencer à les claquer doucement. Puis rapidement, ma main claqua avec plus de vigueur, vos petits cris devinrent de longs gémissements alors que votre croupe devenait écarlate.<br />Un rêve très beau, mais étais-je réellement endormi en le rêvant ?</span></span><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-50308518522182183672022-01-06T20:59:00.004+01:002022-01-06T20:59:29.882+01:00 Vœux 2022<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">En ce mois de janvier je vous présente tous mes vœux pour cette nouvelle année.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Une année que je vous souhaite pleine de bonheurs, de folies, de jouissances en tous sens.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Une année intense en découvertes et expériences nouvelles, dans le domaine de la lecture bien sûr, et le cas échéant je peux vous offrir des listes infinies de livres à lire absolument, mais aussi en gastronomie pour éveiller et titiller vos papilles.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Une année tout aussi intense en découvertes et expériences nouvelles dans le domaine des plaisirs sensuels, sexuels, même si pour certain·e·s d'entre vous le champ des expériences nouvelles possibles se restreint d'année en année avec une jouissive allégresse, et non, encore une fois, je ne citerai aucun nom.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Jouissez, sortez de votre zone de confort, tentez, franchissez vos barrières, osez l'inavouable, de tous vos sens jouez et jouissez sans cesse. Jouissez à deux, à trois, à quatre, ou à plus, ou moins, jouissez avec un homme, une femme, deux hommes, deux femmes, un homme et une femme, une femme et un homme… Jouissez sur une langue, dans une main, avec un jouet, sur des doigts, dans un cul, dans une bouche, entre des seins, sucez, léchez, embrassez, mordez, pincez, claquez, gémissez, couinez, faites-vous fouillez, pincer, enculer, mettez vos doigts, votre langue partout et là aussi, encore.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Enivrez-vous de jouissance, noyez-vous dans les orgasmes, perdez pied en prenant le vôtre, lâchez prise, abandonnez-vous, laissez votre corps exulter.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Bandez, mouillez, frémissez, vibrez, palpitez, offrez votre bouche, votre sexe, vos seins, vos mains, votre cul, votre peau, tout votre corps.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Soyez chien et chienne à la fois et tour à tour, soyez dominant·e, soyez soumis·e, jouez mille rôles, jouissez en sans fin, explorez le champ des possibles qui est immense. Écoutez vos désirs les plus enfouis; les plus secrets, les plus fous, les plus scellés.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Osez ! Vivez !</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Et ainsi je vous ai présenté mes vœux pour cette année deux mille vingt-deux en deux mille vingt-deux caractères (espaces compris).</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-973004241711627132022-01-05T10:10:00.005+01:002022-03-19T23:42:23.471+01:00 Intense soirée (2)<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Sheba se délecte de sucer les doigts d'Hadrien avec application, elle aime cette manière qu'il a de pousser lentement mais vigoureusement les doigts dans sa bouche, elle suce à en perdre la respiration. Elle ferme les yeux et se concentre sur ses sensations, sur les envies qui la submergent.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Hadrien glisse sa main droite en les cuisses de Sheba, elle est déjà mouillée de désir, il effleure doucement son sexe nu et offert, caresse les lèvres, les écarte et prend possession.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">" Tu aimes te faire prendre, te faire fouiller comme la petite chienne que tu es, tu aimes être emplie. Regarde-toi, tu te tortilles comme une petite salope en chaleur."</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Sheba, la bouche pleine et la langue fort occupée se contente de gémir. Hadrien retire doucement ses doigts, des deux mains à la fois, et dans un sourire, intervertit les mains pour les réintroduire en Sheba.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">"Vas y suce encore, suce ta mouille, ta chatte dégouline et tu baves en suçant." Et les doigts s'enfoncent plus avant prenant possession plus encore de ce corps ouvert, offert, abandonné. Sheba gémit plus fort et se tortille.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">"J'aime quand tu te laisses aller, quand tu perds pied, quand tu t'enchiennes. Et ne t'inquiète pas, je vais aussi m'occuper de ton petit cul. Je vais le claquer, le rougir, le déguster, le mordre, le marquer avant de le prendre, de le fouiller. "</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Sheba n'est plus qu'un frémissement, un gémissement continu et sourd. Effectivement, elle bave en léchant les doigts d'Hadrien tout en coulant du plaisir qui monte en vague. Elle se cambre offrant sa croupe. Elle imagine déjà les mains, les dents d'Hadrien, mais aussi le sifflement du cuir qui précède le claquement mat sur sa peau. Elle sait qu'elle gémira, criera de plaisir, elle sait que, comme à chaque fois, elle se cambrera plus encore, lui tendra son cul.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"> </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"><a href="https://joueurparisien.blogspot.com/2021/12/intense-soiree-1.html" target="_blank">Intense soirée épisode 1</a> </span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-3359619825380845992021-12-22T14:06:00.002+01:002021-12-22T20:38:55.581+01:00 Esprit de Noël<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Pour rester dans la tonalité ambiante, j'avais décidé d'écrire un billet autour de l'idée de Noël, en évitant toutefois les poncifs, sapins érigés, boules offertes au regard, père Noël, père Fouettard, ou les deux à la fois. Rapidement à court d'idée, j'ai décidé de me réfugier dans celles d'autres auteurs plus talentueux que moi. J'ai alors pensé à Georges Brassens :<br />"On se souviendra d'elle,<br />On s'en souviendra,<br />D'la premièr' fill'<br />Qu'on a pris' dans ses bras.<br />Toi, qui m'as donné le baptême<br />D'amour et de septième ciel,<br />Moi, je te garde et, moi, je t'aime,<br />Dernier cadeau du Pèr' Noël!"<br />Mais alors m'est étrangement venue en tête une autre chanson, dans un registre fort différent :<br />" Alors, aux soirs de lassitude<br />Tout en peuplant sa solitude<br />Des fantômes du souvenir<br />On pleure les lèvres absentes<br />De toutes ces belles passantes<br />Que l'on n'a pas su retenir"<br />Et me voilà bien loin de l'idée initiale et de la présumée magie de la fête de Noël. Alors pour conclure sur une note plus gaie, vous ai-je dit que, jeune étudiant, j'avais rencontré une belle qui se prénommait Fernande ?<br />" Quand je pense à Fernande<br />Je bande, je bande<br />Quand j'pense à Félicie<br />Je bande aussi<br />Quand j'pense à Léonore<br />Mon Dieu je bande encore<br />Mais quand j'pense à Lulu<br />Là je ne bande plus<br />La bandaison papa<br />Ça n'se commande pas"</span></span></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-71090439913401949652021-12-21T23:24:00.009+01:002021-12-21T23:24:34.199+01:00 La nuit la plus longue<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Je ne vous apprends rien, sans aucun doute, le 21 décembre est donc le jour le plus court donc nous visons les nuits les plus longues, 15 heures et quarante-cinq minutes, à quelques secondes près. En termes météorologiques, ces nuits ne sont certes pas les plus froides, mais bien loin d'être les plus chaudes.<br />Frédéric le Grand, lors des nuits où il gelait à pierre fendre, se frottait les mains et déclarait " Voici une nuit qui va me donner de nombreux soldats !"<br />Que penser alors de ces nuits dont la longueur pourrait laisser présager qu'elles sont muy calientes ?<br />Et vous, vos nuits ces jours-ci ?</span></span></p>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-30019458434836317542021-12-11T17:05:00.004+01:002022-03-19T23:42:51.480+01:00 Intense soirée (1)<p style="text-align: justify;">Il est des personnes qui s'apprécient, et plus encore, mais dont la relation s'inscrit en pointillé dans la durée. Hadrien et Sheba se connaissaient depuis longtemps, ils partageaient de nombreuses passions <span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">communes notamment pour les livres, les mots, la lecture mais aussi pour les pratiques sexuelles intenses, et les jeux de soumission domination. Pour autant ils se rencontraient à un rythme très irrégulier, peut-être cela participait-il à maintenir une magie, une folie dans leur relation.<br />En ces temps incertains cela faisait plusieurs mois qu'ils ne s'étaient vus. Un soir, au hasard d'une publication sur un quelconque réseau social, leur dialogue repris et très vite ils décidèrent de se revoir. Le rendez-vous fut rapidement fixé chez lui, et il conclut <br />" A samedi donc, et je suis certain que tu porteras une tenue de petite salope !"<br />Et c'est ainsi que quelques jours plus tard, l'on put voir un taxi déposer une femme aux long cheveux attachés, vêtue d'une long manteau noir et perchée sur de merveilleux escarpins. Avec un sourire aux lèvres et un frémissement elle appuya sur l'interphone, un grésillement et sa voix"<br />"Oui ? <br />- C'est moi, Sheba<br />- Oui, et ?<br />- C'est moi Sheba, ta petite salope, ajouta-t-elle en frémissant déjà.<br />- Ah oui ? répondit-il visiblement enjoué.<br />- Et je viens me faire baiser comme une chienne, s'il vous plait ?<br />- Monte salope !"<br />La porte s'ouvrit, elle s'engouffra, l'ascenseur, le palier déjà éclairé, la porte entrouverte, elle se glissa. Il était là, souriant la regardant. D'une main il caresse sa joue.<br />" Toujours aussi séduisante, toujours aussi bandante, et j'espère toujours aussi salope.<br />- Toujours pour vous, je suis votre salope.<br />- Quitte ton manteau, ta robe !" La voix d'Hadrien claque.<br />Sheba s'exécute aussitôt. Son manteau, sa robe glissent à terre tour à tour. Sa nudité est exacerbée par ses bas et son porte-jarretelles noirs ainsi qu'un collier pendant entre ses seins. Hadrien sourit, il caresse les petits seins tendus de Sheba, en effleure les pointes et les pince. Le sourire de Sheba grimace un peu.<br />" Tu es donc venue te faire baiser, petite chienne ? <br />Oui, j'ai envie d'être votre chienne, de me faire baiser, de m'abandonner à vos envies les plus perverses, de m'offrir à vous."<br />Sa phrase se termine avec trois doigts d'Hadrien glissant dans sa bouche, en prenant possession, en la fouillant. Il lui sourit<br />"Suce, suce mes doigts petite salope…"</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"><a href="https://joueurparisien.blogspot.com/2022/01/intense-soiree-2.html" target="_blank">Intense soirée épisode 2</a> <br /></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"> </span></span><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-74239949060598051672021-12-07T23:54:00.007+01:002021-12-07T23:54:29.890+01:00 Quel texte écrire ?<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Je recommence peu à peu à écrire, peut-être l'avez-vous remarqué. Et comme chaque fois que j'essaye d'aligner des mots je m'interroge sur la forme, le style à adopter, et comme à chaque fois je doute. J'évoquais donc ce sujet avec une charmante et sulfureuse lectrice. Elle m'a alors écrit :"Vos écrits sont jolis ils reflètent de beaux fantasmes mais aussi une certaine timidité." Il n'était donc pas envisageable que je lui propose d'essayer un texte moins timide. Et sa réponse fut " Oui j'aime l'érotisme mais vraiment poussé… au maximum… j'aime quand ça frappe… quand ça choque… quand ça froisse…"<br />Me voilà donc tentant de répondre à la suggestion de la belle, songeant à elle, les images se bousculent dans ma tête, même si les mots sont moins prompts à jaillir. Le plus difficile est de ne pas laisser mon esprit s'envoler, s'enflammer en imaginant la belle s'offrant, s'abandonnant cul et âme à mes envies les plus intenses. L'idée de son corps vibrant, gémissant, coulant, criant de désir m'inspire et me trouble à la fois. Mes mains glissent tour à tour sur le clavier et sur mon sexe dressé et je ne sais quel sera le premier jaillissement, mon texte ou mon foutre.<br /></span></span></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-11536754985380696872021-12-05T21:45:00.002+01:002022-03-19T23:43:06.026+01:00Dans l'ascenseur<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">J'allais voir souvent un ami qui vivait en banlieue au dernier étage d'un immeuble tout aussi haut que vieillissant. L'ascenseur était tout aussi vieux que le bâtiment et avait bien mal résisté aux assauts du temps. Certes il affichait fièrement une capacité d'accueil de quatre personnes mais l'on ne pouvait que se demander de quel gabarit elles devaient être vu l'étroitesse de la cabine. De plus, l'éclairage était des plus intimistes et, bien souvent la cabine ne daignait décoller du rez-de-chaussée que lorsque le poids des occupants était du côté gauche, en vieillissant nous avons tous nos petites manies. Et lorsque l'ascenseur se mettait en branle, la cabine était quelque peu secouée lors de la montée.<br />Un soir au moment où, après une bien longue attente, la cabine arrivait enfin, j'entendis un bruit de talons hauts derrière moi et vis une femme aux courbes avantageuses se diriger vers l'ascenseur, bien évidemment je la laissai entrer la première, comme tous les habitués elle s'installa côté gauche. Mais après que nous eûmes tous deux appuyé sur les boutons, rien ne se passa. Elle me sourit et m'invita à me déplacer, à me rapprocher d'elle pour faciliter le départ. Nous fîmes donc le trajet ainsi, dans une semi-pénombre, nos corps s'effleurant au rythme des secousses de la cabine. Arrivés à son étage, elle descendit, et dans un grand sourire me lança " Belle soirée !"<br />Le hasard faisant bien les choses, je retrouvais la belle quelques jours plus tard, à moins que je n'aie un peu forcé le destin en attendant au pied de l'immeuble. Nous entrâmes dans l'ascenseur.<br />"Peut-être devrais-je rapprocher de vous cette fois aussi, lui suggérais-je<br />- Bien sûr, nous décollerons mieux, venez contre moi."<br />Curieusement à chaque secousse nous nous rapprochâmes un peu plus. La soirée fut des plus délicieuses !<br /> </span></span></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-59277854256696686302021-10-24T23:04:00.002+02:002021-10-24T23:04:08.377+02:00 Citation du jour<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Il y a bien longtemps que je n'ai écrit et publié un billet construit, plus ou moins bien j'en conviens, autour d'une citation. Cela ne signifie nullement, pour celles et ceux qui auraient pu en douter, que je lise moins, je ne vous donnerai pas pour autant la liste des ouvrages que j'ai lus depuis le treize janvier qui est, sauf erreur de ma part, la date à laquelle j'ai mis en ligne mon dernier billet basé sur une citation, d'une part elle serait un peu longue, d'autre part elle ne présente guère d'intérêt.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Après ces fastidieux prolégomènes, pour celles et ceux qui n'ont pas encore décroché et pour les en remercier, je vous offre deux citations issues du même ouvrage et qui en sont respectivement la première et la pénultième phrase du même ouvrage : " J'ai fait provision de frustration physique jusqu'à ce que je commence à me masturber tard, relativement tard, à dix-neuf ans" et " Il aime me sodomiser mais il ne m'a jamais demandé mets-toi à genoux et prends-moi dans ta bouche. "</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Une bien agréable lecture, mais je ne vous dirai pas, ou du moins pas ici, à qui j'ai pensé, voire rêvé, en découvrant cette dernière déclaration.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-59345257155324308752021-10-05T21:12:00.007+02:002022-03-19T23:43:14.380+01:00 Un concert<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Elle aurait été bien incapable de dire comment et quand cela avait commencé, quelques banalités échangées, mais quelque chose, quelque mot avait dû attirer son attention pour qu'aujourd'hui elle attende, espère toujours un message de lui. Un message dans lequel il jouerait du bout de ses mots de ses envies, de ses désirs, surtout les plus inavoués, et dès qu'elle le lisait, elle vibrait et s'inondait de désir. Pour lui, elle mettait son impudeur en image qu'elle lui offrait au gré de ses demandes empressées et délicieusement perverses.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Ce soir, elle espérait échanger avec lui, mais une de ses amies lui avait proposé un concert, un concert dont elle avait rêvé sans avoir eu de place, et là presque un miracle, cette proposition. Elle n'avait su refuser.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Pendant le concert, elle pensait aussi à lui sans égard pour l'état de sa petite culotte. À tel point qu'elle n'y tint plus. Et c'est ainsi, qu’elle se retrouve, dans les toilettes, ses seins lourds dénudés, les pointes dressées, lui offrant une image d'elle abandonnée et offerte.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-74344379280669286432021-09-24T21:44:00.003+02:002021-09-24T21:44:26.291+02:00 Merci !<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Comme vous avez pu le constater j'ai peu ou pas publié de textes depuis de longues semaines ou mois. Au départ juste une lassitude puis, alors que je pensais reprendre l'écriture une série d'évènements tout aussi personnels que des plus désagréables m'a tenu éloigné du clavier, au moins pour le genre d'écrits que vous connaissez.<br />Si je n'ai pas écrit, je n'ai pas moins lu, dévoré des tas de livres, mais jamais assez, romans en tous genres, et parfois érotique ou même furieusement érotiques, essais sur les sujets les plus divers.<br />Je voudrais donc remercier celles et ceux qui m'ont contacté d'une manière ou d'une autre pour s'étonner, voire s'inquiéter de mon silence, qui m'ont encouragé, incité à reprendre l'écriture, à ne pas me laisser aller, à ne pas sombrer. Je ne citerai aucun nom " j'suis peut-être vulgaire, mais j'suis discret" mais je pense particulièrement à celle qui m'a donné des coups de pied au cul tout aussi virtuels qu'efficaces pour me faire sortir de mon trou et m'a fait découvrir entre autres un jardin en plein Paris et bien d'autres merveilles dont son regard n'est pas la moindre, à celui et celle avec qui j'ai bu un thé à la menthe avant de partir en quête de bissap, à celle que je n'ai pas encore rencontrée et que pourtant je connais tant, à celle amoureuse des vers de Baudelaire, de la langue française et qui me fait le bonheur de trouver mes mots bien écrits, à celle dont le regard est si beau que j'en oublierai de plonger dans son décolleté lorsqu'elle se penche vers moi pour m'écouter, à celle-ci et à celle-là, et tous les autres et à toutes les autres.<br />Encore une fois merci, et cette fois-ci, c'est promis je ne lâche plus mon clavier !</span></span><br /></p><p><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7750379864410350305.post-25649136176348132602021-08-12T22:58:00.007+02:002021-08-12T22:58:47.835+02:00 Les vacances sont terminées<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Pour être plus précis, mes vacances sont terminées. J'espère charmantes lectrices et charmants lecteurs que vous avez pu prendre des vacances, que vous allez les prendre ou que vous êtes en vacances et que tout se passe pour le mieux pour vous.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mes vacances sont donc terminées, et je suis de retour dans mon petit nid douillet, j'apprécie cette expression désuète pour simplement indiquer que je suis de retour chez moi, en région parisienne.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mes vacances sont terminées et je suis de retour des images plein la tête et surtout des idées de texte plein la tête, il ne me reste donc plus qu'à me jeter frénétiquement sur mon clavier et à essayer d'aligner des mots.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;">Mes vacances sont terminées et il me faut encore un peu de temps pour vous livrer un premier texte.</span></span><br /><span style="font-size: small;"><span style="font-family: arial;"></span></span><br /></p>Unknownnoreply@blogger.com0