Un soir, la gare de RER, la nuit tombée, une soirée fraiche et douce. Et soudain derrière moi un bruit de pas, un pas de femme, et mon imagination s'emballe, des talons hauts ? et pensant que j'avance rythmé par ses pas, je l'imagine, la rêve, sa jupe, ses bas, son allure… Et soudain les pas s'arrête, je suis seul dans la rue avec mes rêves…
Date de publication 28 avril 2010 18h36
RépondreSupprimerVous ne vous êtes meme pas retournée?
Vous l'avez laissé filé...
Il est vrai que parfois juste un son ou une odeur permet de s'évader..
RépondreSupprimerDate de publication 28 avril 2010 22h35
Et l'imagination peut être tellement plus belle que la réalité .. qu'il vaut mieux parfois rester avec la douce idée de ce qui aurait pu être plutot qu'avec la verité fade ..
Delp