Comme tous les jours, ou presque, j’ai couru aujourd’hui. Le temps était gris, et soudainement sont apparues devant moi deux charmantes coureuses, en l’occurrence je dois avouer que je ne pouvais apprécier leurs charmes que vu de dos et ils étaient délicieusement mis en valeur par les cuissards qui les moulaient. Un grand-père sur le bord de la coulée verte m’a lancé un joyeux " Vous avez raison, courrez vers là !"
Malgré ce charmant encouragement, je n’ai pas rattrapé les deux belles. M’est alors revenue en mémoire une phrase issue d’une lecture : " Parfois les gazelles fuient si vite que même le sable humide n’arrive pas à conserver leurs traces."
Malgré ce charmant encouragement, je n’ai pas rattrapé les deux belles. M’est alors revenue en mémoire une phrase issue d’une lecture : " Parfois les gazelles fuient si vite que même le sable humide n’arrive pas à conserver leurs traces."
Courir… d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…