Ce billet aurait dû être intitulé " Partir, revenir " mais sous là-haut patronage, certes posthume et involontaire, de Jean Delannoy et de Friedrich Nietzsche le titre a changé. L'idée n'est pas moins trivialement la même, exprimer le plaisir de partir pour mieux revenir. Je précise pour éviter toute confusion et surtout tout cours de nietzschéisme que l'idée que j'expose ici est la mienne telle qu'exprimée dans le billet à venir et non celle de ce bon vieux Friedrich Wilhelm.
Tout ce verbiage inutile simplement pour dire que je pars quelques jours au bord de l'océan respirer l'air du large, et déguster poissons, fruits de mer et autres délices locaux en tous genres…
Tout ce verbiage inutile simplement pour dire que je pars quelques jours au bord de l'océan respirer l'air du large, et déguster poissons, fruits de mer et autres délices locaux en tous genres…
L'Éternel retour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…