Je peux enfin reprendre, jusqu'à la prochaine cruellement jouissive contrainte de Popins qui me détournera de mes frasques, le fil de mon récit quelque peu perdu de vue depuis plus de dix jours. Je marchais donc avec ma belle complice, nous venions de quitter le bord non pas du lac mais de l'océan.
Je vous rappelle que, malgré contraintes, interruptions et digressions, j'essaye de maintenir une cohérence dans cette histoire, nous n'allons pas croiser un lion au détour d'un chemin mais peut-être quelque belle féline. Là aussi, encore un rappel, nous n'avons nul besoin d'un avion, il suffit qu'elle dévoile ses fesses et que nous en jouions, pour atteindre le septième ciel, mais il ne nous déplaît d'associer à nos plaisirs quelque·s partenaire·s. Nous aimons ce moment où les enchevêtrements de corps ont des allures de jungle sensuelle et sauvage, ces moments où une plage infinie de plaisirs s'offre, où l'on ne sait plus que corps l'on caresse, quelle lèvre nous caresse, et où l'on se laisse porter sur une mer de jouissance.
Écriture contrainte soixantième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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