Vous peignez madame, vous êtes une artiste
Comment ne pas aimer admirer vos tableaux
Qui sont de vraies œuvres, non simples bibelots,
Sauf à être bien sur franchement passéiste.
Je serais cependant un piètre dialoguiste
Si je ne mentionnais, sublime bimbelot,
Vos si beaux atouts vu au travers d'un hublot
Tellement troublants, j'en deviens fétichiste.
Mais si vos œuvres sont d'une beauté suprême
Je dois vous avouer une attirance extrême,
Et un très fort désir vous dire sans biaiser.
Vos seins, cuisses, fesses, vous êtes si attirante,
Que je ressens pour vous une envie délirante
Ma queue bande pour vous, je voudrais vous baiser.
Sonnet impudique pour une belle Vénus d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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