Contrainte: autruche, corde, temps, bonheur, abricot, forêt, mystère, main, chemise
Certains m'ont dit, écrit serait plus juste, aimer mes vers, j'en suis quelque peu étonné et, je l'avoue, flatté. Mais pas question pour autant de faire l'autruche ; mes lecteurs semblent nettement plus intéressés pas des récits érotiques, et vous reconnaîtrez dans ce cas-là rester planté la tête dans le sable et le cul en l'air pourrait prêter à confusion.
Je pourrais vous parler de shibari, pratique dont j'apprécie grandement l'esthétisme, pas uniquement l'esthétisme dois-je vous le préciser. Mais, vous le savez, j'aime peaufiner les mots, les tirer au cordeau, je ne m'aventurerai donc pas à évoquer cette pratique que je ne maîtrise pas, je ne prendrai donc pas le risque en écrivant de marcher sur la corde raide.
Je vous parlerai donc de moments, d'instants de plaisir. Je vous parlerai, par écrit au moins, de désirs exacerbés et d'extase et de temps de jouissance. J'espère donc que vous me ferez le bonheur de me suivre dans les délires écrivassiers.
J'ai furieusement envie de vous trousser, de vous mettre le cul à l'air et enfoui entre vos cuisses de vous lécher l'abricot longuement, voluptueusement. J'aimerais vous déguster ainsi en pleine forêt, je n'en ai jamais fait mystère. Puis je joindrais à ma bouche mes doigts, ma main pour vous faire jouir et couler sur moi, sur ma bouche, sur ma main, à en tremper ma chemise.
Certains m'ont dit, écrit serait plus juste, aimer mes vers, j'en suis quelque peu étonné et, je l'avoue, flatté. Mais pas question pour autant de faire l'autruche ; mes lecteurs semblent nettement plus intéressés pas des récits érotiques, et vous reconnaîtrez dans ce cas-là rester planté la tête dans le sable et le cul en l'air pourrait prêter à confusion.
Je pourrais vous parler de shibari, pratique dont j'apprécie grandement l'esthétisme, pas uniquement l'esthétisme dois-je vous le préciser. Mais, vous le savez, j'aime peaufiner les mots, les tirer au cordeau, je ne m'aventurerai donc pas à évoquer cette pratique que je ne maîtrise pas, je ne prendrai donc pas le risque en écrivant de marcher sur la corde raide.
Je vous parlerai donc de moments, d'instants de plaisir. Je vous parlerai, par écrit au moins, de désirs exacerbés et d'extase et de temps de jouissance. J'espère donc que vous me ferez le bonheur de me suivre dans les délires écrivassiers.
J'ai furieusement envie de vous trousser, de vous mettre le cul à l'air et enfoui entre vos cuisses de vous lécher l'abricot longuement, voluptueusement. J'aimerais vous déguster ainsi en pleine forêt, je n'en ai jamais fait mystère. Puis je joindrais à ma bouche mes doigts, ma main pour vous faire jouir et couler sur moi, sur ma bouche, sur ma main, à en tremper ma chemise.
Écriture contrainte quatre-vingt-dix-septième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…