Faut-il que j'aie sur moi toujours quelque antisèche,
Ou qu'enfin j'écrive avec l'encre de seiche ?
Et puissé-je jamais ne passer pour un cancre,
Au vu de mes rimes pour lesquelles dans l'encre
Je trempe ma plume. Devrais-je jeter l'ancre
Évitant que mes mots dérivent en travers,
Ou bien à la campagne aller me mettre au vert,
Ou alors simplement, sortir pour boire un verre ?
Écriture autocontrainte, douzième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…