Je tracerai sans fin mes mots sur une ardoise
Tentant de leur donner une beauté turquoise,
Et la sonorité d'une douce framboise.
Pour louer son talent, et sa douce toison,
Ne devrais-je rimer un si joli blason
Afin qu'elle le lise et tombe en pâmoison ?
Mes ardeurs sont freinées par un capharnaüm,
Mot aux tristes rimes, erbium, radium,
Dont n'aurait que faire un poète gentilhomme.
Écriture autocontrainte, quarante-sixième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…