Je veux rimer encore et donc prendre ma lyre
Pour me mots, espérant que vous voudrez les lire,
Et mon engagement, d'ainsi pouvoir remplir.
Je ne m'en lasse pas, car j'aime vois-tu re
Commencer mille fois, à chanter vois-tu re
Marquablement Popins, et sa jolie voiture.
Ayez la courtoisie, la grande politesse
De pardonner ces rimes qui sentent la foutaise,
Et de ne pas vouloir en écrire une thèse.
Écriture autocontrainte, trente-sixième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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