Puissent mes poèmes toujours vous apaiser
Et vous offrir toujours la douceur des baisers,
Étant sur vos lèvres d'une lecture aisée,
Qu'ils soient toujours emplis de lumineuse fougue !
J'en conviens, très souvent, je ne suis pas discret,
Mes mots ne sont tracés simplement à la craie,
Et l'objet de ces vers ne fut jamais secret.
Écriture autocontrainte, soixante-deuxième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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