Contrainte:
Photographie Grasse, le 27/07/2018
Me voilà donc, semble-t-il, tenu d'écrire un texte dont la contrainte est une photo, mais une contrainte toute aussi volontaire que la servitude d'Étienne de la Boétie, mais soyez sans crainte je n'évoquerai pas pour autant les appareils idéologiques d'État. Mais cette image a une légende qui l'éclaire et modifie la vision que l'on peut en avoir. Vais-je donc évoquer ici ce que je vois ou ce que j'imagine voir tout autour, voir et entendre.
Dois-je évoquer ici
un verre,
le plaisir de boire un verre,
le plaisir de boire un verre entre amis,
le plaisir de boire sous les platanes un verre entre amis,
le plaisir de boire sous les platanes un verre entre amis dans le crissement assourdissant des cigales,
le plaisir de boire sous les platanes sur la place du village un verre entre amis dans le crissement assourdissant des cigales…
Me voilà donc, semble-t-il, tenu d'écrire un texte dont la contrainte est une photo, mais une contrainte toute aussi volontaire que la servitude d'Étienne de la Boétie, mais soyez sans crainte je n'évoquerai pas pour autant les appareils idéologiques d'État. Mais cette image a une légende qui l'éclaire et modifie la vision que l'on peut en avoir. Vais-je donc évoquer ici ce que je vois ou ce que j'imagine voir tout autour, voir et entendre.
Dois-je évoquer ici
un verre,
le plaisir de boire un verre,
le plaisir de boire un verre entre amis,
le plaisir de boire sous les platanes un verre entre amis,
le plaisir de boire sous les platanes un verre entre amis dans le crissement assourdissant des cigales,
le plaisir de boire sous les platanes sur la place du village un verre entre amis dans le crissement assourdissant des cigales…
Écriture contrainte cent soixante-treizième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…