Parfois, je l'ai souvent, trop souvent écrit, je doute, je suis comme une truie qui doute, compte qui veut ou comprend qui peut. Je doute de l'intérêt d'écrire, mais je continue à aligner des mots. Et, entre deux ou plusieurs séances d'écriture, je découvre une phrase " Ne le sait-on pas depuis longtemps, que la littérature peut être une panacée pour toutes les maladies de l'esprit."
Serais-je donc à l'abri des maladies de l'esprit ?
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