Sept semaines. Sept semaines pendant lesquelles le simple fait d'acheter du pain devient la sortie de la journée, les sourires ont disparu sous les masques et les mots en sont étouffés, nous nous tenons tous à distance, les corps s'évitent, s'esquivent. Sept semaines à penser à ces journées où nous ne comprenions pas que se promener, boire un verre à la terrasse d'un café était un tel bonheur, à ces journées où il était si facile de pouvoir se rencontrer, à passer de l'autre côté du miroir.
Mais aussi sept semaines à savourer les moments de bonheur. Des livres merveilleux, pour certains redécouverts, des échanges savoureux y compris avec des personnes que l'on avait perdues de vue, et des rencontres dématérialisées, de belles rencontres, tout cela laissant présager de lumineux lendemains où nous déambulerons dans les rues de Paris.
Mais aussi sept semaines de tout petit bonheur quotidien, l'odeur du café le matin, la saveur d'un chocolat à quatre heures, les regards aperçus, et la certitude que la vie va reprendre et que nous en jouirons !
Mais en attendant, restez chez vous.
Mais aussi sept semaines à savourer les moments de bonheur. Des livres merveilleux, pour certains redécouverts, des échanges savoureux y compris avec des personnes que l'on avait perdues de vue, et des rencontres dématérialisées, de belles rencontres, tout cela laissant présager de lumineux lendemains où nous déambulerons dans les rues de Paris.
Mais aussi sept semaines de tout petit bonheur quotidien, l'odeur du café le matin, la saveur d'un chocolat à quatre heures, les regards aperçus, et la certitude que la vie va reprendre et que nous en jouirons !
Mais en attendant, restez chez vous.
Quarante-deuxième jour de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Très beau billet aujourd’hui plein d’espoir.
RépondreSupprimerSublime manque.. Ou le manque sublime?...
RépondreSupprimerou les deux à la fois...
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