Un dimanche l'on ne peut plus banal, encore des travaux d'aménagements, travaux qui, cette fois-ci, sont quasiment terminés. Et nous sommes aussi le vingt-un juin, fête de la musique., pour être précis, la trente-neuvième fête de la musique, une fête de la musique étrange en cette sortie de confinement qui n'en finit pas. Je dois aussi vous avouer que depuis de longues années, la fête de la musique me lasse, un effet de l'âge peut-être me direz-vous, mais il y a autre chose, je regrette la spontanéité des premières fêtes de la musique, celles d'avant les podiums géants aux sonos surdimensionnées. Je me souviens encore de cette première fête de la musique vécue à Toulouse, j'étais avec une amie, nous avons dansé dans les rues de Toulouse des danses bretonnes, nous avons ensuite dans les bras l'un de l'autre dansé toute la nuit, tout ce qu'il restait de la nuit. La soirée fut belle et la nuit fut courte et intense. Le vingt-un juin étai un lundi, et le lendemain ma journée de travail fut éprouvante.
Dansez, mais soyez prudent·e·s.
Dansez, mais soyez prudent·e·s.
Quarante-deuxième jour de sortie de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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