Nullement je ne veux ce récit déserter,
Pour partir au soleil et boire au désert thé
Ou dans une forêt près la lisière,
Là où avec bonheur, j'ai vu les lys hier
Ou alors m'isoler en haut de falaise,
Dans la grande maison, tout près des ifs à l'aise
Là où j'étudierais enfin le zodiaque,
Pour prendre le large dans un vert zodiac.
Si l'un ou l'autre choix me paraît indifférent,
Ce vieux maréchal et que l'on dit ferrant
J'aimerais aussi voir, et la séduisante ondine
Aux longs cheveux dorés, belle avec qui on dîne
Séduisante au regard tranchant comme une lame,
Qui vous vrille le cœur qui vous transperce l'âme.
Ne naît de tout cela nul début de réponse,
Les mains étant lavées ainsi que dirait Ponce
Pilate, en son palais, aux détours sinueux.
Et enfin se finit ce discours si noueux
Écriture contrainte
Écriture contrainte dix-neuvième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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