Contrainte: Verre, bois, plastique, cuir, métal, pierre, tissus, papier, temps
Verre qui offre par sa transparence des vues, aperçus, entrevues sur des corps, des silhouettes.
Bois du lit auquel un corps peut-être attaché, offert, ouvert.
Plastique de jouets divers et variés.
Cuir de la badine qui siffle, des bracelets ou colliers qui ornent merveilleusement des corps, des escarpins vertigineux ou des superbes cuissardes.
Métal des menottes pour jouer des immobilisations, des rosebuds magnifiques ornements du cul.
Pierre froide ou chaude sur laquelle peuvent s'étendre des corps nus, offerts au vent, au soleil ou à la lune.
Tissus qui voilent, dévoilent, qui ornent, qui sont là pour être troussés.
Papier sur lequel s'inscrivent les mots, les envies, les désirs, les souvenirs, les espérances.
Temps que l'on se donne, que l'on vole pour jouer, pour jouir de son corps, du corps de son, de ses partenaires.
Verre qui offre par sa transparence des vues, aperçus, entrevues sur des corps, des silhouettes.
Bois du lit auquel un corps peut-être attaché, offert, ouvert.
Plastique de jouets divers et variés.
Cuir de la badine qui siffle, des bracelets ou colliers qui ornent merveilleusement des corps, des escarpins vertigineux ou des superbes cuissardes.
Métal des menottes pour jouer des immobilisations, des rosebuds magnifiques ornements du cul.
Pierre froide ou chaude sur laquelle peuvent s'étendre des corps nus, offerts au vent, au soleil ou à la lune.
Tissus qui voilent, dévoilent, qui ornent, qui sont là pour être troussés.
Papier sur lequel s'inscrivent les mots, les envies, les désirs, les souvenirs, les espérances.
Temps que l'on se donne, que l'on vole pour jouer, pour jouir de son corps, du corps de son, de ses partenaires.
Écriture contrainte, deuxième année, quinzième semaine d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…