Je ne veux nullement là mes vers déserter,
Même s'il m'arrive de rimer en lisière,
Et pour trouver mes mots de souvent fureter
En un lieu étrange, dans quelque fondrière.
Sur ce point je pourrais des heures disserter
Buvant pendant ce temps théière sur théière,
Tout en jouant des mots, allant jusqu'à flirter,
À cheval sur mes vers avec une écuyère.
Écriture autocontrainte, cinquante-quatrième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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