Je voudrais que mes mots puissent avoir du saphir
La superbe beauté, la fraîcheur du zéphyr
La douce acidité du caucasien kéfir.
Je voudrais de beaux mots, mots au sens irisé,
Au fond de mes rêves qu'ils soient toujours puisés,
Source qui ne pourrait être un jour épuisée.
Je voudrais que mes mots sortent de leur prison,
Et puissent s'envoler plus loin que l'horizon,
Pour s'embraser, brûler, tel un ardent tison !
Écriture autocontrainte, trente-neuvième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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