Ne plus faire semblant de croire que l'on atteindra l’inaccessible étoile, celle que chantait Brel, et se contenter de la douce banalité du temps qui s'écoule lentement,
ne plus tendre la main désespérément vers celle qui fait rêver, geste inutile et vain qu'elle n'entrevoit même pas,
ne plus croire que demain sera un jour meilleur, et ne voir dans les promesses de l'aube que les somptueuses couleurs d'un lever de soleil,
et se contenter d'écrire d'aligner de bien pauvres mots.
ne plus tendre la main désespérément vers celle qui fait rêver, geste inutile et vain qu'elle n'entrevoit même pas,
ne plus croire que demain sera un jour meilleur, et ne voir dans les promesses de l'aube que les somptueuses couleurs d'un lever de soleil,
et se contenter d'écrire d'aligner de bien pauvres mots.
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Avec le temps va tout s'en va...mais bon vous êtes encore jeune pour appliquer les propos de Ferré
RépondreSupprimerLédaxx
Merci, mais Ferré chante cela en 1970, il a alors 54 ans...
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