Il admire mon cul, comme un divin calice,
Présage sublime d'un plaisir surhumain,
Et me susurre alors, sans attendre à demain
Je dois, sans coup frémir, goûter à ce délice.
Il veut dans mes fesses, que sa bite coulisse.
Que je m'ouvre créant, pour son vit, un chemin.
Prise ainsi, je me tords, offerte entre ses mains,
Mon corps se propulse, mon cul est au supplice.
Je suis ainsi ouverte, empalée sur sa queue
Il fait feu, enroule son poing dans mes cheveux.
Il m'arrache un cri, pulsation sadienne.
Là mes veines pulsent, enculée par un dieu.
Il contraint ma gorge, et jusque dans les yeux
Durement me baise, ainsi m'enchienne.
Sonnet impudique pour une fragile liante d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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