Sans limite aucune, sans cesse vous osez,
Et votre chatte nue, et votre cul exposez,
Repoussant sans cesse, la frénésie ludique
Dans une sodomie quasiment héroïque,
À votre anus ouvert, crûment vous proposez
Un énorme plug rouge, et vous lui imposez.
Bougrement, Madame, vous êtes impudique.
J'aime à vous regarder ainsi vous pénétrer
J'en reste ébloui, lorsque vous vous montrez.
Sans aucune pudeur, jouissances diverses.
Je dois vous avouer, sans ambiguïté,
Si belle, Madame, sans fin vous m'excitez.
Vous êtes, en effet, subtilement perverse.
Sonnet impudique pour une perverse amie d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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