Ce dur labeur non vu au fond d'un souterrain,
Repolissant les mots, à grands coups de clairain ?
Pour faire ce travail, il n'est de logiciel,
Écrivant des vers coulants comme du miel,
Cela, on le fait seul, les yeux levés au ciel.
De ces tâches mes mots gardent les cicatrices,
Mais je vous les offre sans la moindre avarice,
Pour chanter la gloire de leur destinatrice
Écriture autocontrainte, huitième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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