Même s'ils vous semblent issus d'un épicier,
Car j'écris sur le fil, tenant un balancier.
Manquant d'équilibre, j'ai quelque peu le trac,
Et vous livre des vers dignes d'un bric-à-brac,
Des rimes mélangées et quelque peu en vrac.
Et mon écriture en devient sibylline
Visant une belle rêvée en crinoline
Magnifique amazone, sensuelle et féline.
Si mes mots ne vous siéent, alors je capitule,
Jetez-moi au cachot, ou dans un ergastule
Ou bien fessez-moi donc à grands coups de spatule.
Écriture autocontrainte, quatrième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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