Mais quand elle lira, seule, mes vers ou quand
Elle les entendra, qu'au cri du toucan
Ils ne ressemblent jamais, pas plus à un boucan.
Dans cette activité, pas la moindre inaction,
De cesser de rimer, il ne serait question.
Au risque d'attraper là une indigestion,
Je veux pouvoir mes mots rependre avec démence,
Comme dragon ailé épandant ses semences,
Et que la diffusion de mes vers soit immense.
Écriture autocontrainte, vingtième jour d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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