" Un grand soleil d'hiver éclaire la colline
Que la nature est belle est que le cœur me fend"
Je me suis promis, je vous ai promis, mais les promesses n'engagent parait-il que celles et ceux qui y croient, de n'aligner ici que des mots roses. Et je me tiendrai à cette promesse, mais je voulais offrir ces mots, ces superbes mots qui ne sont pas de moi, ne rêvons pas, à une amie.
Mais je poursuivrai, et pour elle aussi, sur un mode plus joyeux, plus gai. Et je vous devine déjà, lectrices et lecteurs lubriques, flairant l'approximation lexicale, frétillant à l'idée d'évocation pour le moins de bisexualité. Peut-être imaginez-vous déjà trois corps emmêlés, entremêlés, quatre mains caressant chaque corps, des doigts glissant entre des fesses, entre des cuisses, s'introduisant, caressant branlant, des bouches, des langues se cherchant, se trouvant, des bouches, des langues louant avec des sexes, les bouches des deux lui léchant le sexe d'elle, la bouche d'elle et de lui suçant le sexe de l'autre lui.
Imaginez, mais restez chez vous !
Seizième jour de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
Vous maniez l'art de dire, sans dire… J'aime. Vraiment.
RépondreSupprimerMerci, j'apprécie vos mots ici...
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