Dimanche, quelques mots rédigés à la hâte, non pas griffonnés sur un papier mais saisi devant un écran, le stéréotype attendra, la fenêtre ouverte, un timide soleil, un ciel bleu, et le chant des oiseaux, en dehors de cela un calme presque absolu si ce n'est de temps en temps le bruit d'une rame de RER juste pour ne pas oublier que je ne suis pas à la campagne. Quel beau dimanche pour la saison, chantait Jacques Brel, sans aller jusque-là, et sans vous apporter des bonbons, un beau début de journée en attendant de partir bricoler encore et toujours plongé dans les mêmes aménagements.
Et je ne désespère pas de retrouver des journées, des week-ends plus calmes, de me balader, de déambuler dans les rues de Paris. Après cette idée de déambulation dont vous reconnaîtrez l'inspiration, vous me permettrez, j'en suis certain de conclure par une autre chanson de Jacques Brel.
"Au troisième temps de la valse
Nous valsons enfin tous les trois
Au troisième temps de la valse
Il y a toi, y a l'amour et y a moi
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Laisse enfin éclater sa joie."
Valsez, mais soyez prudent·e·s.
Et je ne désespère pas de retrouver des journées, des week-ends plus calmes, de me balader, de déambuler dans les rues de Paris. Après cette idée de déambulation dont vous reconnaîtrez l'inspiration, vous me permettrez, j'en suis certain de conclure par une autre chanson de Jacques Brel.
"Au troisième temps de la valse
Nous valsons enfin tous les trois
Au troisième temps de la valse
Il y a toi, y a l'amour et y a moi
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Laisse enfin éclater sa joie."
Valsez, mais soyez prudent·e·s.
Trente-cinquième jour de sortie de confinement d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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