- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


mardi 26 février 2013

Coureur...

- Tu as couru ce matin ?
- Oui, mais je n'avançais pas...
- Trop froid ?
- Non, de ce côté-là, ça va, j'ai l'habitude
- Pas en forme, un coup de fatigue ?
- Non, il y avait une nana qui courait devant moi.
- Et alors ? Elle allait trop vite, ça t'a déprimé ?
- Non, pas du tout, elle n'avançait pas, mais je n'ai pas pu la doubler, elle avait un trop joli petit cul.

mercredi 20 février 2013

Laguiole



Il sort son Laguiole pour pouvoir déboucher une bouteille.
- Un consultant avec lequel j'ai travaillé disait toujours, finalement pour intervenir on n'a que sa bite et son couteau.
- Et, ça donnait quoi ?
- Ca fonctionnait, sauf quand c'était sa collègue, elle oubliait souvent son couteau.
- Tu lui prêtais le tien ?
- Pas de souci, c'est un trois pièces, elle était comblée !

mercredi 13 février 2013

Saint Valentin...

La Saint Valentin est de retour, comment aurions-nous pu ne pas nous en apercevoir ? Ma boite mail s'est enflammée à cette occasion, non pas de messages de belles languissantes mais plus prosaïquement de publicités diverses. J'ai donc, sans décoller de mon clavier, de nombreuses options.
Je peux faire livrer un superbe, (c'est curieux ils sont tous superbes),  bouquet à son travail, si l'élue de votre cœur est au chômage, elle pourra s'asseoir sur les fleurs. Évitez donc les épines en l'occurrence, quoique, cela peut-être délicieux aussi.
J'ai aussi l'option de lui offrir, pour le même budget, un bijou deux fois plus beau et rendre ce jour plus inoubliable. Je ne suis pas certain d'avoir les mêmes critères de beauté que ces gens-à, parce que "chez ces gens-là « On ne cause pas Monsieur On ne cause pas on compte », quoique là aussi, j'en voie quelques-uns, le regard pétillant me disant que deux fois plus beau, deux fois plus gros et la journée sera encore plus inoubliable...
Et pour le cas où elle serait anglophone, je peux même avoir une fiche thématique français/anglais sur la Saint Valentin. Et je vous précise que sur cette fiche vous n'apprendrez pas à traduire levrette ou cunnilingus...
Enfin, un mail m'incite à profiter du déstockage, non pas de belles esseulées mais de jeux PS3 et de livres, mais hélas de livres un peu fades...

Vous l'aurez compris, encore une fois, la Saint Valentin me lasse et me désespère. Mais pour ne pas donner l'impression de sombrer définitivement dans la sinistrose, la misanthropie, misogynie ou autre gouffre amer, j'ai relevé quelques points positifs.
D'une part j'ai trouvé, par hasard bien sur, le plus beau cadeau pour la Saint Valentin, celui que propose l'Impossible, si vous ne connaissez pas l'Impossible, je ne peux décidément plus rien pour vous...
Et une amie, célibataire, m'a dit être invitée à une soirée Sans Valentin, l'idée est jolie, et je ne vous dirais pas si elles sont toutes lesbiennes, ne rêvez pas.

Enfin pour conclure ce billet en attendant que ce jour se termine, je propose que l'on s'inspire d'Alice aux pays des merveilles, que l'on cesse de fêter, plus ou moins, l'amour ou l'Amour le jour de la Saint Valentin, mais qu'on le fête pour la Non Saint Valentin...

lundi 11 février 2013

Con gelé.


Décidément, même en période de grands froids, la lecture de la presse a de quoi vous réchauffer, même quand elle traite de froid. D'un côté, nous avons des industriels qui prennent non pas des vessies pour des lanternes mais des chevaux pour des bœufs, sans même que l'on nous précise si ces chevaux sont des hongres ou des étalons. Et dans le même temps, un britannique visiblement bien imbibé a violé un bonhomme de neige.
Sans vouloir jouer la corde de la nostalgie du bon vieux temps, je me souviens d'une période où l'on savait distinguer un bœuf d'un cheval, et surtout d'un étalon et où l'on se contentait de fourrer une carotte aux bonshommes de neige qui de plus figurait le nez, en évitant de se geler, non pas les couilles mais la bite, dans un con gelé.
Avec tous ces givrés, l'on ne saura plus bientôt à quels seins, de glace bien sur, se vouer...