- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


Si vous aimez mes mots, j'aime aussi les vôtres, laissez-donc, si vous le souhaitez, une trace de votre passage, les commentaires vous sont ouverts…


dimanche 31 mars 2019

Madrigal pour une que l'on chérit…

Ravissante dame que l'on chérit
Sans que notre désir n'en soit tari,
Si votre nom évoque la sagesse
Votre regard si joliment mutin
Me font rêver à, lubriques matins,
Sur votre corps, d'impudiques caresses.



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vendredi 29 mars 2019

Écriture contrainte, deuxième année, treizième semaine

Contrainte: Anaphores, alexandrins, requête, pénates, prothèse, aphone, vaudou, apnée, arpents

Contraintes du jour, anaphores pour nos mots,
Contraintes, en alexandrins rimer les mots,
Contraintes dures, requête, cesser ces maux,
Contraintes, loin de nos pénates et hameaux,
Contraintes, pas de prothèse pour le plumeau,
Contraintes, aphone, chanter pianissimo,
Contraintes, pas de vaudou sous les rameaux,
Contraintes, en apnée rimer fortissimo,
Contraintes, évoquer quelques arpents à Meaux.



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mercredi 27 mars 2019

Deux madrigaux

Je vous avoue charmant fruit défendu
Que c'est un plaisir et inattendu
Et charmant de vous avoir découvert
De contempler vos courbes somptueuses,
Ornées de vos paroles onctueuses.
Permettez-moi de vous offrir ces vers.

Sont-ce vos seins ou bien votre sourire
Que l'on vous voit en premier nous offrir
En ce jour où vous vous dites bougresse.
Mais au vu du premier sens de ce mot,
Notre désir devrait fortissimo
Se tendre vers vos ravissantes fesses.



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dimanche 24 mars 2019

Madrigal pour une jeune femme délicieusement trash

Jeune femme délicieusement trash
Quand on vous voit le cerveau fait un crash
Et aussitôt s'envolent les envies.
A vous voir ainsi sur un god baver
Le désir ne peut donc que s'aggraver
Et, vers vous, se dresser raide le vit.



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vendredi 22 mars 2019

Madrigal pour l'anniversaire d'une trop kinky

Vous, étant pour ce monde trop kinky,
Avez cependant plus d'un cœur conquis.
Alors, dus-je fouiller tout un glossaire,
Je trouverai pour vous de jolis mots
Pour vous souhaiter les plus délicieux maux
Afin de fêter votre anniversaire.



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jeudi 21 mars 2019

Écriture contrainte, deuxième année, douzième semaine

Contrainte: Ange, Cerbère, Dragon, Farfadet, Gobelin, Korrigan, Manticore, Nécromancien, Phénix


Étrange d'être ange dit le cerbère qui sert bière au dragon dans des draps gonflés ainsi qu'au farfadet du far fade et, quand le gobelin gobe l'un des œufs du korrigan dont le corps est grand, le manticore ment encore alors que le nécromancien nait trop ancien lorsque le phénix fait ni X ni Centrale. 



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mercredi 20 mars 2019

Ballade pour une enthousiasmante salope pluraliste

Elle a ce soir une furieuse envie
De baiser comme une vraie dépravée.
De la langue elle caresse un vit
Avant que de, en bouche, s'en gaver,
Si profondément qu'elle en a bavé
Car cette bite est d'un beau gabarit
Mais malgré ce son désir ne varie
Elle avalera tous ces centimètres
Pour que vibrant de plaisir il lui crie
En tous sens faites-vous encore mettre.

Ce plaisir buccal doit être suivi
Et elle veut dans son con éprouver
D'une autre queue l'ardeur sans préavis,
Et, tout en suçant, se faire envulver.
Un quidam pour son délice aggraver
L'enconne donc, d'une verge aguerrie,
Tandis que de jouissance il barrit
A son plaisir cherchant à la soumettre
Tout en lui récitant sa plaidoirie
En tous sens faites-vous encore mettre.

Mais elle n'est suffisamment servie
Et veut donc aussitôt être entravée
Ainsi qu'une salope inassouvie,
A l'en faire mouiller et saliver.
A l'idée de se faire décaver.
Étant de tous les bandars l'égérie
Pour être prise en grand charivari
Par de beaux braquemarts de fort diamètre.
Qui lui chantent, la baisant en série
En tous sens faites-vous encore mettre.

Belle salope qui nous fait bander
Nous donnant désir de vous gourmander
Et avec vous, de nulle envie omettre,
Jamais ne songez à vous amender,
En tous sens faites-vous encore mettre.



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mardi 19 mars 2019

Madrigal pour l'anniversaire de la sublimissime salope

À toi la sublimissime salope
Je t'adresse ces mots sans enveloppe,
Et sois certaine que je suis sincère,
Même éperdu devant tant de beauté
Et troublé devant tant de qualités,
Pour te souhaiter un bel anniversaire.



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lundi 18 mars 2019

Moins jeune, encore un effort ?

J'évoquais hier dans un billet ces phrases trouvées au hasard d'une lecture et dont l'idée exprimée résonne avec quelqu'un, quelque chose, c'est à nouveau l'une de ces phrases que je veux vous offrir ce soir, même si le ton est certes mon joyeux que celui du billet précédent. " Ma vie n'est plus qu'une longue ligne droite. J'ai perdu trop vite la joie du hasard et de l'incertitude."
Incontestablement, je vieillis…


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dimanche 17 mars 2019

Encore un effort jeunes gens…

Au cours de mes lectures, je vois passer beaucoup de mots, beaucoup de phrases, certains et certaines retiennent mon attention pour écrire un billet, d'autres pas. Parfois c'est la beauté d'une tournure qui retient mon attention, et il m'arrive de la mettre de côté en attendant de trouver comment l'utiliser. Dans d'autres cas, ce qui retient mon attention ce n'est pas la forme mais l'idée exprimée qui résonne avec quelqu'un, quelque chose. C'est le cas ce soir avec ces mots que je vous offre et qui me font songer à quelques charmantes amies. "Les jeunes gens de mon âge me traitent avec beaucoup moins de respect et d'attention que lui."


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samedi 16 mars 2019

Premier Madrigal

Quand je vois ce que j'ai tant admiré,
Son beau cul que j'ai toujours désiré
Je ressens en moi mon envie renaître
En rêvant de la belle fustiger
Faisant mon vit derechef s'ériger
Pour en con puis en cul pouvoir la mettre.



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jeudi 14 mars 2019

Écriture contrainte, deuxième année, onzième semaine

Contrainte: Vide ton sac !

Vide ton sac, quelle injonction ! Faudrait-il encore remplir ledit sac sans se faire prendre la main dans le sac risquant de finir dans un cul de basse-fosse, mais l'on pourrait aussi le remplir lors de la prochaine mise à sac. Supposons donc ce point résolu, l'affaire est dans le sac direz-vous, à condition toutefois d'éviter les culs-de-sac et aussi, avouons-le, d'éviter de faire de cette contrainte un sac de nœuds. Un peu fouillis ce contenu de sac, j'en conviens, mais si je vous dis, après avoir évoqué des nœuds, qu'il s'agit là d'un premier jet, foutre dieu, vous allez penser que c'est mon scrotum que j'ai vidé suite à l'injonction de notre charmante amie…


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dimanche 10 mars 2019

Envers et contre tout

Un souffle sur sa nuque, des mains qui saisissent ses seins, elle se cambre, des doigts qui pincent ses pointes de sein, elle gémit, elle s'ouvre, s'offre, une queue raide, vibrante de désir qui s'enfonce en elle, elle est trempée, son bassin ondule, elle geint et brutalement se réveille… Le bel amant au goût sauvage a disparu mais son désir est toujours là, ses pointes de seins tendues, son sexe trempé. C'est le week-end, elle est seule mais son temps lui appartient. Elle tend la main, cherche à tâtons ses jouets, les attrape, mais hélas dans le même mouvement, le verre posé sur la table de nuit bascule et se fracasse au sol.
Sale réflexe, elle bondit dans son lit, regarde au sol, il était vide mais des éclats jonchent le sol de la chambre. Elle se glisse de l'autre côté du lit, traverse avec précaution la chambre et se retrouve quelques instants après passant l'aspirateur. Elle lève les yeux, se regarde dans le miroir, si peu vêtue. Hélas le bel amant n'est pas là, il aurait pu la prendre la debout, contre le mur. Elle imagine la scène, le désir s'empare d'elle à nouveau, ses seins se rappellent à elle, son sexe coule d'envie. Elle glisse une main entre les cuisses, juste un effleurement, un gémissement, elle attrape au vol ses jouets, se laisse tomber sur le lit. Ses cuisses s'ouvrent, ses jouets, ses doigts s'activent, et elle s'envole dans ses désirs troubles de bel amant au goût sauvage…


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Sonnet impudique pour une demoiselle callipyge

Elle est ravissante, c'est une jeune dame
Au sourire gracieux, au regard lumineux
Son charme est intense, puissant, faramineux,
Aussi la contempler vous bouleverse l'âme.

Mais bandant comme un cerf, en même temps l'on brame
De désir et d'envie en contemplant son cul,
Aux attraits merveilleux, et l'on est convaincu
Que voilà le Graal pour le plus bel orgasme.

L'on se prend à rêver donc de déambuler
Avec cette  belle, aussi de fabuler
La faisant sourire quelque récit candide,

L'on se prend à rêver aussi à l'enculer,
A gicler sur son cul, et de le maculer,
La faisant sourire dans un râle splendide.



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samedi 9 mars 2019

Au commencement…

Parfois, peut-être est-ce dû à mon âge, je m'interroge sur mon parcours. Récemment je me suis demandé comment j'en étais arrivé à des pratiques, des jeux BDSM. Je ne sais vraiment quel fut le tout début, sans aucun doute quelques images captées ici ou là, puis, c'est certain des lectures. J'ai eu la chance de croiser Sade, il y a bien longtemps, en 10/18. Ce fut une révélation, à tous points de vue, et il faut le reconnaître la naissance d'un trouble intense. D'autres lectures vinrent ensuite, notamment histoire d'O, et aussi le film que je vis l'année de sa sortie mais qui, même s'il m'a à l'époque laissé des images plein la tête, n'était une grande réussite.
Me voilà donc avec des envies, des fantasmes, mais avec une vraie question, comment rencontrer des partenaires. Et je dois pour cela rendre hommage à une grande dame, que je n'ai jamais rencontrée faut-il le préciser, Madame Catherine Robbe-Grillet. Lors d'une émission d'Apostrophes, ce fut la première que j'entendis parler de pratiques réelles, dois-je vous préciser que j'en fus encore une fois profondément troublé, même si cela ne régla en aucune façon ma question.
Puis, plus tard, une rencontre, un hasard, une femme dans le métro, des sourires échangés, un verre que nous prîmes ensemble et la sublime surprise, elle aussi aimait ces jeux-là et ce furent mes premières expériences, hélas trop brèves.
Puis, ce fut l'arrivée du Minitel. Enfin la possibilité, semblait-il, d'échanger, de faire connaissance, voire d'envisager d'aller plus loin. Un grand progrès certes, quelque peu onéreux pour le moins, mais qui me permis quelques belles rencontres.
La suite, un petit groupe de connaissances, et l'arrivée d'internet, et les années qui passent…


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vendredi 8 mars 2019

Je suis triste aujourd'hui

Un grand monsieur est mort, Raoul Barrière est mort aujourd'hui. Ce nom ne signifie sûrement rien pour la plupart de vous. Raoul Barrière fut l'entraîneur du Grand Béziers, de cette merveilleuse équipe tant décriée qui a fait rêver ma génération. Le rugby a bien changé depuis, mais ce grand monsieur restera parmi les grands entraîneurs, ceux qui ont fait avancer le rugby.
Merci à vous Monsieur Barrière !


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jeudi 7 mars 2019

Écriture contrainte, deuxième année, dixième semaine

Contrainte: pourfendre, forteresse, estourbir, fourbir, besogner, lance, destrier, investir, assaut

Il se disait fasciné par la période médiévale, il ne rêvait, pour être plus précis, que de châteaux forts, de sièges et de prises d'assaut. Il racontait à qui voulait bien encore l'entendre comment il organiserait son armée devant la forteresse, pâle copie de César devant Alésia. Il racontait ses troupes en train de fourbir leurs armes. Il se voyait sur son destrier, blanc bien sûr comme sur toute image d'Épinal, brandissant sa lance, devant ses troupes galvanisées, prêtes à investir la place fort. L'instant d'après il grimpait le long des remparts, prêt à estourbir à coups de masse d'arme le premier défenseur qui se présenterait, à pourfendre le suivant, pour un peu il prendrait à lui seul la cité de Carcassonne. Mais, au fond, elle le savait bien il ne rêvait au fond que du moment où il pourrait enfin besogner quelque garce avec allégresse…


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samedi 2 mars 2019

Au Père Lachaise

Il lui avait donné rendez-vous devant l'entrée du Père Lachaise. Elle avait choisi avec soin sa tenue, comme toujours, des talons hauts, mais pas trop pour pouvoir marcher dans les allées, une jupe courte évasée, un chemisier facile à déboutonner et un imperméable léger. Et elle était arrivée un peu en avance, elle ne voulait surtout le faire attendre, elle regarde, espère voir apparaître sa silhouette boulevard de Ménilmontant ou rue de la Roquette lorsqu'elle sursaute. Il est arrivé par le cimetière, derrière elle, et il est là, il sourit. Elle fond à ce sourire. Il la prend par la main et l'emmène se promener dans les allées, il lui fait découvrir des tombes, lui raconte le cimetière. Elle aime être avec lui et frémit de plaisir lorsqu'il se penche et lui susurre " Tu es ravissante ma chienne, et tu vas l'être encore plus en portant tes pinces !" Et il les lui tend, elle lui sourit, déboutonne son chemisier et place l'une, puis l'autre pince, son sourire en étant ponctué d'une petite grimace de douleur et de plaisir mélangés. La ballade reprend, et il se penche soudain pour ramasser quelques petites branches qu'il fait siffler en marchant. "Vous n'allez pas, ici, dans le cimetière ?" Il rit, la fait avancer dans une petite allée, la courbe sur une tombe, trousse d'un geste l'imperméable et la jupe, et cingle vivement son cul offert. Elle gémit sous les coups qui s'enchaînent, elle sent son cul s'enrougir, combien de temps cela a-t-il duré, elle ne sait, partagée en ce merveilleux mélange de plaisir et de douleur et cette délicieuse honte d'être ainsi exposée comme une chienne lubrique. Il la prend à nouveau par la main, et la promenade se poursuit quelques instants, lorsque désignant un banc en bois il lui propose de s'asseoir quelques instants, "Tu sembles ne plus avoir de jambes" ajoute-t-il. Elle s'approche et écarte imperméable et jupe pour s'asseoir sagement, comme il aime, le cul nul posé sur le banc, lorsqu'il l'interrompt un instant posant sa main sur elle. Lorsqu'elle s'assied, elle sent quelque chose, elle se tourne vers lui qui sourit en faisant sauter quelques graviers dans sa main. Elle est assise à côté de son seigneur, les seins pincés et dans son cul cinglé s'incrustent de petits graviers. Il se penche vers elle, caresse sa joue. "Mon bonheur est infini d'avoir une telle chienne !" Elle rosit, baisse les yeux, elle est entièrement à lui, elle est trempée de désir, désireuse des plaisirs de son seigneur.


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Au Père Lachaise d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International



vendredi 1 mars 2019

IRL

Encore une fois, je viens de découvrir une phrase superbe lors d'une lecture, lecture d'un roman évoquant la réalité virtuelle. Ce n'est pas le seul, pourriez-vous me rétorquer, la particularité de celui-ci est d'avoir été publié il y a déjà vingt ans, et je dois vous avouer que pour moi, il n'a pas pris une ride, contrairement aux Trois Mousquetaires !
L'héroïne du roman déclare " Dans la réalité, j'ai tendance à perdre toute mesure. Cela peut devenir carrément limite." Et je vous dois encore un aveu, en lisant cette phrase j'ai aussitôt pensé à une charmante amie croisée sur les réseaux sociaux…


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