Que c'est un plaisir et inattendu
Et charmant de vous avoir découvert
De contempler vos courbes somptueuses,
Ornées de vos paroles onctueuses.
Permettez-moi de vous offrir ces vers.
Sont-ce vos seins ou bien votre sourire
Que l'on vous voit en premier nous offrir
En ce jour où vous vous dites bougresse.
Mais au vu du premier sens de ce mot,
Notre désir devrait fortissimo
Se tendre vers vos ravissantes fesses.
Deux madrigaux d' Un Joueur Parisien est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International
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