Décidément, même en période de grands froids, la lecture de la presse a de quoi vous réchauffer, même quand elle traite de froid. D'un côté, nous avons des industriels qui prennent non pas des vessies pour des lanternes mais des chevaux pour des bœufs, sans même que l'on nous précise si ces chevaux sont des hongres ou des étalons. Et dans le même temps, un britannique visiblement bien imbibé a violé un bonhomme de neige.
Sans vouloir jouer la corde de la nostalgie du bon vieux temps, je me souviens d'une période où l'on savait distinguer un bœuf d'un cheval, et surtout d'un étalon et où l'on se contentait de fourrer une carotte aux bonshommes de neige qui de plus figurait le nez, en évitant de se geler, non pas les couilles mais la bite, dans un con gelé.
Avec tous ces givrés, l'on ne saura plus bientôt à quels seins, de glace bien sur, se vouer...
Sans vouloir jouer la corde de la nostalgie du bon vieux temps, je me souviens d'une période où l'on savait distinguer un bœuf d'un cheval, et surtout d'un étalon et où l'on se contentait de fourrer une carotte aux bonshommes de neige qui de plus figurait le nez, en évitant de se geler, non pas les couilles mais la bite, dans un con gelé.
Avec tous ces givrés, l'on ne saura plus bientôt à quels seins, de glace bien sur, se vouer...
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