Le titre de ce billet est, cela n’a pu échapper à votre perplexité, à double sens, même si je ne doute pas que certain-es d’entre vous n’en trouve un troisième, quatrième ou pire encore. Le sujet à aborder pourrait être soit mon pénultième billet, soit mes vacances. Mais, je ne vous raconterai pas ici ce que j’ai fait, ce que je n’ai pas fait, voire ce que j’ai rêvé pendant ces derniers jours. Il vous suffit de savoir que je suis allé revoir "la brique pale et tiède des vieux murs", que j’ai retrouvé mes librairies, découvert une nouvelle librairie, lu, jamais assez, couru, jamais trop, et écrit trop peu.
Je voulais donc simplement évoquer ici mon billet du 26 juillet dernier, pour être plus précis, évoquer un commentaire laissé par un ami "Tu nous laisses un grand vide." J'apprécie de laisser un tel manque, et tiens à préciser que je ne suis que parti en vacances et non décédé. Ce n'est donc pas un billet d'outre-tombe. Par contre je tiens à vous indiquer que cet ami est officiellement chargé de mon éloge funèbre.
Je voulais donc simplement évoquer ici mon billet du 26 juillet dernier, pour être plus précis, évoquer un commentaire laissé par un ami "Tu nous laisses un grand vide." J'apprécie de laisser un tel manque, et tiens à préciser que je ne suis que parti en vacances et non décédé. Ce n'est donc pas un billet d'outre-tombe. Par contre je tiens à vous indiquer que cet ami est officiellement chargé de mon éloge funèbre.
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