Non, je ne commencerai pas ce billet en vous chantant
" Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle
Comme d'une bien-aimée,
D'une infidèle,
Une fille bien vivante
Qui se réveille
À des lendemains qui chantent
Sous le soleil..." si vous ne La connaissez pas, je ne peux plus rien pour vous.
Je ne vais pas non plus ici faire le panégyrique de Ma Muse...
Simplement, l'idée d'évoquer aujourd'hui quelques dessous de Clio, non, je ne parle pas du châssis de la petite Renault ! Vous êtes-vous intéressé quelque peu à ce que fut la famille royale française ? Louis-Philippe Ier, dernier roi des Français a eu plusieurs enfants dont un Henri d'Orléans qui a laissé quelques (petites) traces dans l'histoire.
Mais surtout sa vie est pleine de clins d'œil, volontaires ou non, en commençant tout jeune et faisant ses études au collège Henri-IV, presque en famille.
Mais il est surtout connu par son titre, prince d'Orléans, duc d'Aumale. Serait-ce là une manière inavouée d'afficher son masochisme ? Toujours est-il qu'il eut une solide réputation et a même laissé son nom à une position érotique "à la duc d'Aumale" technique au sujet de laquelle les auteurs divergent. L'une des options évoquées étant une sodomie où l'homme est sur le dos, la femme dessus lui tournant le dos, le clitoris restant accessible. L'intérêt, pour mon billet en tout cas, de cette position est de rebondir sur une position " à la duc d'Ô mâle" où la femme munie d'un gode ceinture est sur le dos, l'homme dessus lui tournant le dos, le sexe et les testicules restant accessibles.
Où ne vont pas se nicher les délires d'une Muse ?
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