- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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mercredi 12 novembre 2014

Suite à la fin de récré….

Oscillant entre dieu et diable, la citation évoquait un surplomb, endroit ô combien propice aux vertige et pertes d'équilibre, en tous sens bien sûr. Et cette sensation fut renforcée encore par d'aucune qui commenta le billet demandant si c'était là les gouffres de l'enfer, diabolique vertige entre vice et vertu.
Il ne resterait alors d'autre solution que celle choisie par le rusé fils de Laerte pour ne pas basculer, et faute de mat, se faire lier ou enchainer au premier surplomb venu. Je vous laisse bien sur toute liberté pour commenter ici ou là ce choix délicieusement de se faire ainsi enchainer devant de belles et affriolantes sirènes.
Est-ce dieu, est-ce diable ou les deux à la fois qui amènent à relire ainsi l'Odyssée et ainsi relier une nouvelle fois au mat ou au surplomb. Est-ce dieu, est-ce diable ou les deux à la fois qui alors que nous oscillons entre vice et vertu, entre dieu et diable en pleine religion nous amènent ses deux étymologies discutées, et donc discutables, de relegere " relire" et/ou de religare "relier."
Cela ne peut être le seul hasard, et tel Moïse au pied du Sinaï, je devrais écouter cet appel vers la religion. Je vais donc, non pas à genoux, mais confortablement assis, relire et relier certains billets de ce blogs déjà publié pour donner un peu de cohérence aux récits qui s'entrecroisent allègrement. Mais je vous rassure Le Manuscrit trouvé à Saragosse n'a rien à craindre de ma prose.

1 commentaire:

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