- Je bois au beau sexe des deux hémisphères.
- Et moi, je bois aux deux hémisphères du beau sexe !
Marquis de Bièvre


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jeudi 19 mars 2015

Printemps 2015

Ce serait donc demain le printemps, c'est du moins ce que l'on raconte partout accompagnant cela d'acerbes commentaires sur les aléas climatiques divers. Je ne reprendrai pas aujourd'hui mes remarques sur les différents printemps météorologique, astronomique, et calendaire, je me bornerai donc à noter une certitude, c'est l'équinoxe de printemps. Je n'en céderai pas moins à la pression ambiante et vous gratifierai d'un billet printanier.
J'avais envisagé dans un premier temps d'écrire sur le plaisir des premiers beaux jours, des bourgeons qui éclosent tendrement, des décolletés qui s'ouvrent dévoilant dentelles ou absence de dentelles, des jupes qui raccourcissent, vertigineusement parfois. Mais si les bourgeons sont bien au rendez-vous, les aléas climatiques sont tels ces derniers jours que l'impact vestimentaire est quelque peu restreint et donc cet aspect du billet a perdu de son actualité.
Je me suis donc souvenu d'un passage décrivant une belle et découvert il y a peu dans un roman "De ses ancêtres slovènes, elle avait conservé les formes dodues; le caractère doux, la touffe dorée et une langue longue, apte à inlassablement lécher, sucer, aspirer, mais les hominidés mâles doivent ici interrompre leurs fantasmes répugnants, car elle était aussi munie de deux antennes coudées comportant douze articles poilus et surtout un dard convenablement chargé en venin."
Vous avais-je précisé que belle en question était une abeille ?

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