1er décembre
Comment écrirais-je la force du désir
Pour cette princesse troublante
Et terriblement captivante
Donc le si beau regard est toujours un plaisir.
2 décembre
Ô combien j’ai rêvé, d’un moment avec Elle,
Et là, plongé dans son regard
Troublé, conquis, puis plein d’égards
Submergé de désir, culbuter cette belle
3 décembre
Au plus noir de la nuit, souvent, je pense à elle
Allongée dans son trop grand lit
Et rêvant d’un si doux délit
Sobrement dévêtue par un rien de dentelle
4 décembre
Claquant ses talons hauts, dans la rue, elle marche
Un coup de vent montre ses bas
À cette vue rêvant d’ébats
Des regards la suivent, souriante elle marche.
5 décembre
Se caressant des yeux, assis au restaurant
Eperdus dans leur face à face
Se désirant sans volteface
S’effleurant de leurs mots, tous deux se dévorant
6 décembre
Inclinée en avant, par un beau soir d’été
Largement elle lui dévoile
Ses seins somptueux sans nul voile.
Il sourit, son regard dans ce décolleté
7 décembre
Une robe noire, et elle est fascinante,
Mais elle l’a vite ôtée,
Presque nue, de toute beauté,
Sourire aux lèvres, splendide et indécente.
8 décembre
Elle ne marche pas, féline, elle danse
Ondulant sur ses talons hauts.
Dans son cerveau c’est le chaos
Et il la contemple avec grande impudence.
9 décembre
Assis en terrasse, j’attends paisiblement,
Soudain elle est là, fascinante
Je la contemple, si troublante
Et je la désire, lui dis-je ?, ardemment.
10 décembre
Du bout de la langue, lentement, longuement,
Pour découvrir, sur cette la table,
Enfin son goût inoubliable,
Dont il se délecte là langoureusement.
11 décembre
Sentir sur ma langue la saveur de sa peau
Découvrir sa douceur intense,
La déguster avec constance,
La caresser ainsi, sans fin et sans repos.
12 décembre
Mais vous n’êtes pas là, j’en ai quelque amertume,
J’avais rêvé mille plaisirs.
Mais soudain renait le désir
Quand j’entends vos talons claquer sur le bitume.
13 décembre
Au sol, un petit pull, une jupe froissée,
La peau épuisée de caresses,
Intensité, douceur, tendresse,
Éperdues de plaisir, toutes deux enlacées.
14 décembre
Elle lui prodigue de très longues caresses
D’une si douce intensité
Allant vers sa rigidité
Qu’il ne peut que vouloir saillir cette bougresse.
15 décembre
Dans un enlacement d’une intense chaleur
Leur langue, leur bouche, sans cesse
Perdues en de douces caresses.
Faudrait-il un nombre pour dire leur bonheur ?
16 décembre
Nue, son corps emporté dans sa douce folie
Glissant sur elle avec adresse
Sa main intensément caresse.
Elle se fait jouir, seule dans son grand lit.
17 décembre
Et je rêve d’elle, du soir jusqu’au matin
De fous désirs elle génère
Incandescent imaginaire
Comment oublierais-je ma sublime catin.
18 décembre
Une jupe fendue offrant à voir ses bas
Et sa peau nue quand elle bouge
Des talons hauts, semelle rouge
Et il rêve d’elle en d’intenses ébats.
19 décembre
Alanguie sur son lit, là je la découvris
A moitié nue, bouche entr’ouverte
Me regardant, belle et offerte,
Un désir vers elle, tendit raide mon vit.
20 décembre
Une guêpière, des bas, des Louboutin
Dans une posture indécente
Elle est ainsi éblouissante
Elle devient alors sa petite catin
21 décembre
Vêtue de ses bas noirs comme seule parure
Là à genoux sur le tapis
Elle gémit sans nul répit
Offrant à son regard sa superbe cambrure.
22 décembre
Il est tellement doux, faut-il le confesser
De voir chez lui ce trouble naitre
Et cette envie de se soumettre
Il n’a donc qu’une envie, vite le caresser.
23 décembre
Elle danse et son cul langoureusement bouge
Ressentant un désir certain
Vêtue de ses seuls escarpins,
Abandonnée à lui, nue au pied du sapin
24 décembre
Ce calendrier de l’avent
Se termine, babiole
Qui là s’envole
Au vent
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