Il lui effleure la joue d’une main. Celle-ci se pose naturellement sur sa nuque qui ploie doucement. Sans qu'il ait eu à prononcer un mot, elle le guide d'une démarche peu assurée et s'arrête lui semble-t-elle au milieu de la pièce. Elle n'entend que sa respiration, sent ses mains qui effleurent son corps. Elle est immobile, frémissante quand soudain les deux mains plongent dans son décolleté, saisissent les seins, les malaxent, en pincent les pointes, les tirent, les vrillent. Plaisir et douleur, douleur et plaisir, son gémissement s'étire.
Et sa voix qui lui glisse à l'oreille : " Ton gémissement est jouissif, ce serait dommage que tu n'en profites pas plus." Et la phrase est ponctuée par son rire. En profiter plus, elle ne sait ce qu'l veut dire, et il ne lui laisse pas le temps d'y penser plus longtemps.
Les ordres se succèdent, penchée en avant, plus cambrée, les fesses plus offertes, à genoux, les cuisses plus écartées, plus indécentes, à quatre pattes, plus chienne, la position qu'elle adopte ne convient jamais, sans cesse il demande, ordonne, exige, redemande. Elle obéit, essaye de deviner, se trompe, recommence, encore, elle aime être objet, ainsi abdiquer sa volonté. Il ponctue parfois ses demandes d'un "Offre-moi tes seins", elle les prend dans ses mains, les tend vers lui et il pince, tire, vrille, gémissements.
Puis soudain le silence, elle est debout, elle attend. Les mains se posent encore sur ses seins, plus douces cette fois, effleurements des pointes, le froid du métal, la morsure des pinces, un long gémissement.
Il la prend par les épaules, la fait pivoter, avancer, elle est derrière le canapé, il la courbe, ses seins viennent s'appuyer sur le canapé, douleur du contact des pinces avec le cuir du dossier. Debout, cuisses entrouvertes, penchée à l'extrême, cambrée le cul tendu, la jupe qui remonte sur ses cuisses.
À nouveau l'attente, ses pas, le bruit d'un zip qui s'ouvre, un sac surement, des objets qui bougent. Un sifflement dans l'air, une cravache, envie et crainte à la fois, désir exacerbé.
Les mains effleurent ses joues, ses oreilles " Jouissifs tes gémissements, tu vas en profiter mieux", il pose un casque sur ses oreilles. Silence total, puis un vague grésillement. Une légère pression sur son dos, les pinces frôlent le cuir, un gémissement qui rebondit dans ses oreilles, un micro est là devant elle….
La cravache commence à cingler ses fesses, gémissements, cris repris, amplifiés dans ses oreilles. Douleur et jouissance de l'abandon, seule dans son obscurité, isolée des bruits sauf des siens.
Et sa voix qui lui glisse à l'oreille : " Ton gémissement est jouissif, ce serait dommage que tu n'en profites pas plus." Et la phrase est ponctuée par son rire. En profiter plus, elle ne sait ce qu'l veut dire, et il ne lui laisse pas le temps d'y penser plus longtemps.
Les ordres se succèdent, penchée en avant, plus cambrée, les fesses plus offertes, à genoux, les cuisses plus écartées, plus indécentes, à quatre pattes, plus chienne, la position qu'elle adopte ne convient jamais, sans cesse il demande, ordonne, exige, redemande. Elle obéit, essaye de deviner, se trompe, recommence, encore, elle aime être objet, ainsi abdiquer sa volonté. Il ponctue parfois ses demandes d'un "Offre-moi tes seins", elle les prend dans ses mains, les tend vers lui et il pince, tire, vrille, gémissements.
Puis soudain le silence, elle est debout, elle attend. Les mains se posent encore sur ses seins, plus douces cette fois, effleurements des pointes, le froid du métal, la morsure des pinces, un long gémissement.
Il la prend par les épaules, la fait pivoter, avancer, elle est derrière le canapé, il la courbe, ses seins viennent s'appuyer sur le canapé, douleur du contact des pinces avec le cuir du dossier. Debout, cuisses entrouvertes, penchée à l'extrême, cambrée le cul tendu, la jupe qui remonte sur ses cuisses.
À nouveau l'attente, ses pas, le bruit d'un zip qui s'ouvre, un sac surement, des objets qui bougent. Un sifflement dans l'air, une cravache, envie et crainte à la fois, désir exacerbé.
Les mains effleurent ses joues, ses oreilles " Jouissifs tes gémissements, tu vas en profiter mieux", il pose un casque sur ses oreilles. Silence total, puis un vague grésillement. Une légère pression sur son dos, les pinces frôlent le cuir, un gémissement qui rebondit dans ses oreilles, un micro est là devant elle….
La cravache commence à cingler ses fesses, gémissements, cris repris, amplifiés dans ses oreilles. Douleur et jouissance de l'abandon, seule dans son obscurité, isolée des bruits sauf des siens.
Date de publication 23 novembre 16h07
RépondreSupprimerça m'inspire ^^
Aphrodite
Date de publication 23 novembre 22h40
RépondreSupprimerJe suis ravi de vous inspirer...