Le calendrier des dieux du stade, dont je ne rappellerai pas ici que certains devraient peut-être passer plus de temps à s'entrainer qu'à poser, a ouvert une voix dans laquelle beaucoup se sont engouffrés avec plus ou moins de bonheur. Pour ma part, je reste résolument fan d'un calendrier que j'ai déjà évoqué là rugby.
Mais après les dieux du stade, nous avons les prêtres sexy, le photographe indiquant les avoir croisés dans les rues de Rome pendant la semaine sainte. N'en doutons pas cela va attirer une foule de touristes des deux sexes avides d'en savoir plus sur le maniement du goupillon...
bon j ai pas mal de lectures a rattrapper mais c est excellent jp....au plaisir de vous retrouver
RépondreSupprimertous vos textes sont captivant
Merci
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