Je l’avoue, le titre de ce billet est un abominable jeu de mots. Sans vouloir me défausser sur qui que ce soit, tout est parti d’un dialogue avec une dame absolument charmante au demeurant à qui je faisais remarquer que l’un des mots qu’elle venait d’employer était absolument exquis. Elle m’a alors cité trois autres noms jolis, chacun des trois commençants pas la même lettre, la troisième, la troisième de l’alphabet évidemment. J’ai eu bien sur l’envie d’écrire un texte sur ces mots, texte dont le titre est naturellement devenu cette lettre puissance trois. Je suis donc totalement coupable d’avoir commis un tel jeu de mots.
À cette culpabilité je n’ajouterai donc pas celle de faire attendre, espérer, languir, voire se morfondre cette dame, même si je dois l’avouer, le confesser, savoir que cette dame s’impatiente en guettant l’arrivée de mon texte telle une sœur Anne moderne.
Le premier de ces mots a éveillé en moi de superbes images et aussi fait jaillir à mon oreille les mots si beaux de Mouloudji. Comment pourrais-je en effet espérer après lui écrire des mots qui ne soient fades et qui puissent faire " vivre une fleur : Comme un p’tit coqu’licot, mon âme ! Comme un p’tit coqu’licot."
Mais même si je n’aurai jamais la prétention d’écrire des mots qui soient au niveau de ceux de Mouloudji, ou, pour être tout à fait franc, ou presque, même si je n’avouerai jamais une telle prétention, que ne ferais-je pour tenir une promesse faite à une aussi charmante dame.
Avec ces mots, ces premiers mots, je n’ai pas encore comblé cette dame, l’attente de cette dame, et j’espère avoir titillé plus encore sa curiosité et rendu plus intense son attente…
À cette culpabilité je n’ajouterai donc pas celle de faire attendre, espérer, languir, voire se morfondre cette dame, même si je dois l’avouer, le confesser, savoir que cette dame s’impatiente en guettant l’arrivée de mon texte telle une sœur Anne moderne.
Le premier de ces mots a éveillé en moi de superbes images et aussi fait jaillir à mon oreille les mots si beaux de Mouloudji. Comment pourrais-je en effet espérer après lui écrire des mots qui ne soient fades et qui puissent faire " vivre une fleur : Comme un p’tit coqu’licot, mon âme ! Comme un p’tit coqu’licot."
Mais même si je n’aurai jamais la prétention d’écrire des mots qui soient au niveau de ceux de Mouloudji, ou, pour être tout à fait franc, ou presque, même si je n’avouerai jamais une telle prétention, que ne ferais-je pour tenir une promesse faite à une aussi charmante dame.
Avec ces mots, ces premiers mots, je n’ai pas encore comblé cette dame, l’attente de cette dame, et j’espère avoir titillé plus encore sa curiosité et rendu plus intense son attente…
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pourtant badinage commence par un B
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